Cet écrit reflète la pensée d'un de mes personnages - The Proxy -. / Version brouillon.
Le panthéon de l'hypocrisie ; toutes ces proies qui s'efforcent à échanger des sourires jaunes, leurs tenues submergées dans une marre de parfum pour cacher l'odeur du moisie. Ces personnes ignorent la gravité de la situation, car dans moins de 10 secondes la lumière va s'éteindre pour qu'elle cède la place à la cruauté. Avant que je passe à l'acte, je vais vous montrer le côté vil de chaque personne.
La demoiselle au nez pointu est en train d'échanger un large sourire avec Miss naïve et puisque les humains ne peuvent pas lire les pensées des autres je dirais à la Miss que sa copine n'est qu'une petite pute qui se fait enculer par son mec qui prône la chasteté comme argument d'engagement et hymne d'une relation chaste, mais les paroles en l'air ressemble à une partie de jambes en l'air.
Voilà mademoiselle "je crains dieu", en passant elle a essayé de sourire sans ouvrir la bouche. Toutes les personnes présentent pensent qu'elle cache un défaut dentaire, mais elle cache son haleine qui pu le sperme.
Mademoiselle "foi en dieu" cherche une promotion et il n'y a qu'un seul dieu qui peut exhausser son souhait. Un vrai dieu en chair et en os, mais pour elle, un dieu en chair et assez suffisant.
Je baisse les rideaux et ma lame va épouser la douceur des gorges cornées par ces jolis colliers. Mes proies ne se rendent pas compte que c'est la dernière nuit.
L'odeur du sang m'ouvre le cœur et elle me procure une profonde satisfaction semblable à l'extase. La nuit qui devait être joviale se métamorphose en une nuit funeste. Je récite mes prières et j'invoque mes démons.