Il existe une artiste qui séjourne, au calme, près de la place de la Bastille, toujours vetue de noir, le pinceau entre l''ombre et le ciel. Patricia Erbelding ne choisit guère la couleur, celle qui envahit les murs d''ici, frénétique, celle qui fouille les yeux trop fort. Dans un espace agencé en forme de carré, je suis allé la rencontrer récemment. Refusant les