Mot-clef du jour mois : « ça fait quoi d’étre une femme » (ça fait comme d’être un mec, sauf qu’on vous pose des questions idiotes)
C’est un peu mort, hein, ici, cet été ?
Mais ce n’est pas pour ça qu’on ne fait rien, messieurs-dames. D’ailleurs, Aco (surtout) et moi entamons une petite tournée de dédicaces (voir colonne de gauche) pour fêter dignement la fin de notre série post-apocalyptique Havre, dont le troisième et dernier volume, Les Illuminés et les Obscurs, sort aujourd’hui en librairie.
Havre, c’est :
- 3 ans de boulot, presque 5 si on compte depuis nos premiers tâtonnements sur le dossier
- la possibilité de travailler sur un format très agréable qui permet de bien détailler la psychologie des personnages (pour une série basée dessus, c’est toujours utile)
- une belle collaboration avec des gens très bien chez Ankama
- une série malgré tout relativement confidentielle (même si ça s’arrange doucement mais surement), car nous avons tous essuyé les plâtres à l’époque du tome 1
- mais un très bon accueil public et critique qui nous a fait chaud au coeur
Les premières critiques sur ce tome 3 sont de bonnes à excellentes, d’ailleurs. J’en suis fort ravie. Je vous mets ici celle d’actuabd qui, en plus de dire du bien, nous fait une jolie analyse, tant du ressenti personnel du journaliste que des caractéristiques propres du bouquin, axe de traitement qui me procure toujours un plaisir non négligeable.
N’oubliez pas que cette édition comporte, en plus de la traditionnelle nouvelle de fin de volume, un bien beau carnet de dessins hommages, réalisés par de bons et généreux artistes (voir note précédente) que nous ne remercierons jamais assez. Michael Castellanet vous présente d’ailleurs fièrement sa contribution :
Bonne lecture à tous, à très vite en dédicaces ! Aco et moi avons hâte de recueillir vos retours, et espérons vous retrouver bientôt pour un nouveau livre !