Travailler à la lumière en hiver c'est dangereux : la lumière peut bien être fantastique, elle diminue vite...
Pour chaque taf à l'aquarelle "à l'atelier", comme on dit, je bosse toujours avec un croquis préparatoire, ici peaufiné, histoire d'identifier les pièges anatomiques, et les zones d'ombre.
Et puis vient le temps de la réa, pas mal dégrossi par le croquis (ça évite aussi de gommer et d'abimer le papier, de très bonne qualité et donc fragile).
Question lumière à la fin de l'aquarelle, je n'y voyais plus très clair, si bien que la trouve un peu alourdie au niveau de la hanche...