SYRIE : La nouvelle blague de mauvais goût des amis de François Hollande

Publié le 29 janvier 2013 par Menye Alain

Riad Seif

PARIS, France – Les ennemis de la Syrie se sont réunis à Paris, hier. Les médias n’en ont pas vraiment parlé tellement, les délégations d’une cinquantaine de pays étaient écœurées par les sollicitations et demandes de ces bras cassés, associés aux pieds nickelés qui sèment la terreur en Syrie. Toujours dans la blague, ces authentiques vauriens qui vivent de l’argent de nos impôts, logés et nourris aux frais de la princesse.  l’opposition syrienne a réclamé de l’argent et des armes pour venir à bout du régime de Bachar Al-Assad. Du déjà entendu.

Dans son discours, comme s’il s’adressait à ses enfants, Riad Seif, le vice-président de la Coalition nationale syrienne (CNS), a prévenu que le peuple syrien, qui « livre actuellement une bataille sans merci », ne voulait « plus de promesses qui ne seront pas tenues », car « le temps n’est pas de notre côté et la poursuite de ce conflit ne peut qu’entraîner une catastrophe pour la région et pour le monde ». Très drôle ! Il dit parler au nom du peuple syrien, alors que le bougre vit en exil. Comme l’avait écrit Michel Audiard dans « les tontons flingueurs », Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît. Ce mec, sans aucun mandat, dit parler au nom du peuple syrien or, les Syriens ne le connaissent même pas. Sans charisme, on se demande même qui peut l’écouter. Incapables d’arrêter les terroristes, ils acceptent de mettre sur la place publique, leur demande d’armes. Quelle honte !

Georges Sabra

Pire, l’un des dirigeants de l’opposition, Georges Sabra, un chrétien tiré d’un chapeau de magicien a quant à lui fait la sempiternelle demande hypocrite tel un croqueur de diamants qu’il est, qu’ils sont : « Nous avons besoin d’armes, d’armes et d’armes ». Ajoutant,  »l’opposition a besoin de 500 millions de dollars pour mettre en place un gouvernement. » Vous avez bien lu, 500 millions, sans compter ce qu’ils ont déjà obtenu des millions de dollars de nos impôts ces clowns. Bah dis-donc, à  combien le ministre ?

Ces gens sont vraiment des branquignoles !