Hollande, les élections, la France. Ou quand une grenouille devient Président.

 Après des détours sulfureux dans le temps avec Dupontel et Ardisson je me retrouve enfin en 2012, pour parler de l’élection présidentielle.

Ça y est ! C’est enfin arrivé, la gauche a repris le pouvoir exécutif, après dix sept années passées sous le règne de l’UMP, dont cinq sous le signe du Sarkozysme.

Alors quoi ?! On fait péter le champagne, on est content, on jubile, et maintenant, presque deux mois après son investiture, qu’est ce qui a changé ?

Hé bien « rien! » hurleront les gens guidés par le seum, (ah merde c’est moi ça). « Déjà quelques éclaircies » tempéreront les indécrottables optimiste (ah c’est pas censé être moi ça, et pourtant…).

On ne peut que reconnaître que Hollande démarre sur un bon pied sa présidence « normale ». Moins d’avion*, moins de blingbling, baisse des salaires ministeriels (toujours plus haut que l’avant Sarkozy, mais la baisse a eu lieu), et surtout la réforme de la réforme des retraites.

Je ne suis pourtant pas un pro Hollande, ni un pro socialiste, mais l’idée que les présidents se valent est à mes yeux réellement stupide. Sarkozy a fait énormément de mal à la France, et il a excusé son misérable mandat par de multiples pirouettes, « c’était la crise », « les médias m’en veulent » … Cet homme n’avait ni la carrure, ni les compétences d’un chef d’état.

« Deux fois que l’on me cite dans ce blog, je tombe bien bas. »

Hollande les a t-il ces compétences, et cette carrure ? L’avenir nous le dira, en attendant Sarkozy est parti et cela fait un bien fou au moral.

*(un excès à 160kmh d’accord mais le mec est président quand même, faut bien avoir des avantages).

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