À l'époque, et bien avant les téléphones portables, l'internet et Facebook, il était en effet difficile d'imaginer d'inclure des dispositions telles que les périodes d'attente avant l'obtention d'une arme à feu, le cas d'individus au casier judiciaire à problèmes, aux fous ou à l'utilisation d'armes de destruction massive.
Aujourd'hui, il est urgent de revoir cet amendement et de le réécrire pour qu'il puisse permettre aux individus de chasser et de se protéger sans avoir à risquer une autre épidémie d'anéantissement massif de la population.