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Toujours plus fort : La femme trophée

Publié le 09 février 2013 par Georgezeter

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Dernier concept télévisuel made in U.S.A. "The trophy wife" Ca a un succès pas possible. Suivies, filmées et interviewées au quotidien, des jeunes femmes de moins de 30 ans qui ont décrochées à la force du poignet et autres qualités buccales le gros lot: "UN MILLIARDAIRE", en chair, en os, en or, mais pas tout jeune, tout jeune. Elles passent leur temps à "shoppiner" entre copines, dépenser, acheter, faire cramer la carte gold: institues de beauté, chirurgie esthétique, grosse bagnole, jet privé, dire de grosses conneries aussi volumineuses que leur poitrine super développée/couchée etc., bref, les poufs confortables zeureuses.

Le monde est injuste: une femme vivant dans un pays pauvre qui racole un mec pas tout jeune, tout jeune c'est une pute; une qui racole à Beverly Hills un mec pas tout jeune, tout jeune c'est une Trophy wife, appelée aussi "gold digger" (traduction: bouffeuse de diamants)

Autant j'éprouve du respect pour ces femmes devant se prostituer pour élever leurs enfants, nourrir leur famille; je ressens de l'empathie pour ces pauvres femmes; autant j'aimerais botter le train arrière de ces salopes patentées, qui, ayant eu la chance de naitre dans un pays riche, se comportent comme la dernière des trainées, alors qu'il aurait fallu bosser un peu à l'école afin de poursuivre des études et obtenir un poste, un rôle utile à la société. Mais faut dire que si vous regardez l'émission (lien en bas d'article) vous-vous rendrez compte qu'elles ne volent pas haut les pintades siliconées. Vulgaires à souhait, et REELLES; j'ai vécu 7 ans à Los Angeles et j'en ai croisé des "vally girls" (c'est le nom méprisant donné à ces "belles"); en plus moderne - bimbos.

En fait, je m'en branle de ce que fabrique ces décervelées. Mais, vous qui élevez des jeunes filles comment allez expliquer que vers ses 18 ans, au lieu de s'allonger et d'ouvrir les cuisses, votre belle petite devra bosser dur sa prépa, puis se taper des études bac+5 minimum? Ouais, faut être vachtement convainquant. Vous seul, contre tout cette appareillage à lobotiser même les cervelles les mieux faites. Les filles intellos elles aussi rêvent du "prince charmant", de vivre comme des stars de cinéma, et de ne pas à avoir peur du lendemain (en ce monde si dangereux), de pouvoir avoir des enfants et ne pas aller faire la queue aux restos du cœur... Ouais, c'est pas gagné mon gars.

Parlons zin peu "des princes charmants"... Ouais, ben, j'peux vous dire que jamais j'irai boire une bonne bière bien glacée avec de tels connards. Je parle de ceux qui sont dans le TV show. On se demande comment ils ont pu devenir milliardaire... Ce qui prouve bien que notre monde va dans le mur. Ce ne sont pas des bâtisseurs, mais plutôt des "hommes qui ont su attraper les bonnes opportunités de ce monde globalisé" bref, en général des prédateurs ou des vendeurs de bagnole de luxe. Non! Je n'ai aucune admiration pour les riches de ces 20 dernières années; car, les générations d'avant, étaient faites d'hommes d'action, des bâtisseurs d'empires industriels, des créateurs, des innovateurs; alors qu'aujourd'hui c'est le monde des Arnault, Tapis, Bolloré et tutti amici Berlusconi, celui des marchants, des marchandises et des trafics, tout ça chapeauté par l'industrie du luxe qui fabrique dans le tiers monde.

Donc, les "princes charmant" de 45 ans et + ben s'achètent des gonzesses jeunettes, ayant autant de moralité que la dernière femelle Bonobo du zoo de Vincennes qui se gratte le cul devant la multitude béate; et comme eux même, ces mectons sont du même tonneau... Qui se ressemble s'assemble et se baise, dans tout les sens du terme. Car, "le prince charmant" se lasse vite et change souvent de bagnole, jet, yacht, bonne femme. Mais comme elle, c'est une grosse maline, elle a eu le temps de se faire engrosser, et pan! Le million d'euros par an de pension alimentaire. Sarko avait raison sur un point - c'est du donnant-donnant en ce monde de brutes-putes!

Je n'imagine même pas si j'étais une femme, je m'en arracherai les poils de la touffe et ainsi m'auto-brouterai si habitée par la honte de voir mes "sœurs", pour ne pas dire mes con'soeurs se comporter comme les dernières des gourdasses. Et tout ça pour un petit mec vulgaire, souvent blanc, plein aux as, petite bite qui au grand jamais ne me fera jouir. Quant aux gosses avec ce meclà... Espérons qu'ils teindront de moi à 100%, car, "l'étalon" est faisandé. Et là, c'est la loi de la reproduction de l'espèce qui vous parle... Mais fine mouche j'ai assuré mes arrière si j'ose dire; le mexicain baraqué, parlant pas un mot d'Engless qui nettoie la piscine... Lui, sait manier de sa perche.

60 ans de féminisme pour en arriver là. La grognasse qui se triture les tétons et qui s'est fait greffer à la place de ses "petites lèvres", la cervelle d'une buse mégère apprivoisée... Ah déchéance.

Trophy Wife :

   https://www.youtube.com/watch?v=UQVsY7HLzxc

Georges Zeter/Février 2013


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