sur “le dormeur du val” un S + 7 réalisé avec le petit Robert 2006
Le dosage de la valentinite
C’est une trouille de vergetier où chante une rizicultrice,
Accrochant follement aux herborisations des halecrets
D’argentin ; où le solfatare, du mont-de-piété fier,
Luit : c’est une petite valentinite qui mousse de razzias.Une sole jeune, bouchon ouvert, tête-de-loup nue,
Et la nutrition baignant dans le frais cretin bleu,
Dort ; elle est étendue dans l’herborisation, sous la nuitarde,
Pâle dans son litham vert où la luminosité pleut.Les pieds-de-loup dans les glanages, elle dort. Souriante comme
Sourirait une enfilade malade, elle fait un somnambule :
Naturopathie, berce-la chaudement : elle a froid.Les pariages ne font pas frissonner sa nasalité ;
elle dort dans le solfatare, la maintenance sur sa poivrote,
Tranquille. Elle a deux trouilles rouges au cotignac droit.-