Pont d’al Hayat après l’attentat
Il ne reste aux amis de François Hollande et de Bernard Kouchner, les terroristes syriens estampillés « rebelles », que les attentats meurtriers pour exister. Bien sûr, ils ne condamneront pas, à moins de dire que le régime lui-même commet des attentats.
Ces « vaillants » amis de la France ont encore pris la vie de plus de 30 innocents ce matin à Damas, près du siège du parti « Baas » au pouvoir, dans le quartier d’al-Mazra’a. Cette voiture piégée a aussi causé la mort d’enfants car, près de ce lieu, se trouve l’école d’Abdulla Bin Zubair.
Le souffle a causé la destruction de deux bâtiments, et des dizaines de voitures se sont brûlées à proximité du pont al-Hayat qui jouxte l’hôpital du même nom.
Ce sont donc ces combattants autoproclamés de la « liberté » qui privent la liberté aux autres et que nos impôts servent, à les enrichir, d’une part, et de tuer, d’autre part…