Vous pensiez bien me connaître. Vous savez que je suis une râleuse. Mais vous ignoriez à quel point je peux VRAIMENT râler.
Une lectrice de mon blog, que je remercie, m'a signalé qu'un autre blog s'était permis de prélever un de mes textes, le jour même de parution, mais quelques heures plus tard (le temps pour la bloggueuse de copier-coller… bien sûr), pour l'insérer sur le sien, ni vu ni connu. La bloggueuse a poussé le ridicule de la chose jusqu'à utiliser la photo de l'ouvrage que j'avais prise… une photo de mauvaise qualité prise avec mon numérique, car je n'avais à l'époque pas trouvé de scan du livre de Delphine Tolédano.
Bien sûr, impossible de contacter la bloggueuse via un lien-mail.
Il va de soi que j'ai immédiatement signalé le "contenu illicite" à l'hébergeur (en faisant d'ailleurs une belle faute d'aurtograf, vu l'énervement), que j'ai laissé un commentaire pas piqué des vers sur le billet en question ainsi que sur la première page du blog. Mais ça ne m'a pas calmée outre mesure.
Je vous mets un lien pour que vous alliez juger par vous-mêmes.
Plagiat pur et simple de ce billet. Seule l'heure diffère... et pour cause, il fallait le temps de copier...
Cela fera, bien sûr, une publicité à cette bloggueuse malhonnête, mais cela vous permettra de découvrir à quel point les gens peuvent être irrespectueux du travail d'autrui. Car oui, tenir un blog c'est un travail. Un plaisir certes, mais également un travail vu le temps, l'énergie et la joie que j'y mets quotidiennement.
N'hésitez pas à y aller de vos petits commentaires si vous le sentez…
De joie, il n'est pas question ce matin, car ce genre d'attitude me débecte au plus au point et me donne envie de crier des gros mots à la terre entière. Personnellement, je demande toujours l'autorisation à un auteur pour insérer une de ses illustrations, je l'avertis lorsqu'elle est en ligne, je mets des liens. Alors j'attends le même respect à mon égard.
Qu'on se le dise !
Point barre.