Que DSK conduise sa vie privée comme il l’entend, pour reprendre les commentaires de feu un célèbre commentateur sportif : « Cela ne nous regarde pas ». Qu’une de ses partenaires en fasse un ouvrage à sensations dont un hebdomadaire libertaire en imprime sa couverture, cela, non plus, ne nous regarde pas. Que « le cochon » qui sommeillerait en tout homme soit vilipendé, également. Que "la bête" essaie de faire saisir l’ouvrage commence à faire sourire. Mais qu’une grande prêtresse de la liberté sexuelle, récidiviste de l’exhibition et ventriloque du vagin trouve ce livre scandaleux nous fait mourir de rire. Personne n’osera donc dire que la liberté commence où s’arrête celle des donneurs de leçons, incapables de différencier la poutre chez eux de la paille chez les autres ?