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Idées d'un mercredi matin

Publié le 06 mars 2013 par Honorquest

DSC02351-copie-1Je continue à travailler les premiers pas dans le nouveau monde. Je vous partage une idée qui est venu très très tôt ce matin. 

Même dans les pays dits riches il y a une grande pauvreté. Les soupes populaires et les repas d'urgence, les gîtes pour les sans-abris et les indigents ne manquent pas de travail et en fait se plaignent régulièrement qu'ils ne suffisent pas à la tâche. C'est la preuve que ce système ne fonctionne pas. Même ceux qui ont du travail sont souvent épuisés et ont de la difficulté à satisfaire les besoins de leurs familles malgré un horaire de travail harassant et stressant dans des conditions épouvantables. Tous les jours de la semaine de travail des millions de personnes doivent partir parfois plus d'une heure avant le début du boulot parce qu'ils sont pris pendant de longues minutes dans le trafic incessant des heures de point des grandes métropoles produisant pollution et épuisement nerveux.

Pourtant, c'est ici que nous pouvons trouver la solution à tous ces nombreux problèmes créés par le système. Les gouvernements nationaux dans ces pays fortunés que sont l'Europe, le Canada, les États-Unis et autres sont obligés de subvenir à un minimum décent en allocations de subsistance pour les plus pauvres. Les campagnes ont connu un exode massif, les gens qui n'avaient pas de terre et qui rêvaient de cette vie idéalisée dans les films et les médias se sont retrouvés pauvres et démunis sur le sol dur et froid des grandes villes. Il y a des vastes régions de campagnes et de forêts désertées et aussi de vastes fermes qui sont maintenant à l'abandon. Les gouvernements pourraient donner des domaines familiaux aux gens qui reçoivent des allocations sociales et qui veulent tenter de se reconstruire dans la nature. C'est important que cela soit volontaire. Plutôt que de payer pour perpétuer la misère, ces sommes pourraient être donnés à des familles qui acceptent de recevoir un hectare de terre qui leur appartiendrait, qui seraient légués à leurs descendants, qui sont insaisissable et inaliénable, qui seraient libre de taxes et d'impôt et où ils pourraient se refaire une vie. Pour que cela soit possible, il faut que les domaines familiaux soient organisés en ecovillages communautaires et que les sommes qui normalement sont données aux familles soient ici gérées par cette communauté. Les achats devront être groupés pour profiter des escomptes de volume offert par les fournisseurs de ressources et aussi pour mieux planifier de quelle manière la communauté peut le mieux répondre à ses besoins. Une petite scierie portative pour faire les poutres et planches nécessaires à la construction des maisons sera un achat viable pour une communauté qui vit dans une région forestière et un exemple d'achat qu'une communauté peut faire avec ces sommes qu'une famille seule ne peut pas faire. Ensemble il est possible de trouver des solutions à tous les besoins, car la terre mère pourvoit généreusement aux besoins de ces enfants. La seule tâche qui serait requise pour le gouvernement serait de trouver ces terres, les séparant en hectares familiaux avec des chemins et des sentiers additionnels autour de ces hectares familiaux (donc environ 1,2 hectarepar famille) et au centre une vingtaine d'hectares de terres communes pour les bâtiments et les cultures communautaires. Après cela les gens devront bâtir eux-mêmes leurs maisons et leurs bâtiments avec les ressources que fournit la terre et l'aide de leur communauté. Pour protéger l'écologie, il faut en vivre. Ils trouveront sur place tout ce dont ils ont besoin pour se bâtir. Ils respecteront les lois du cercle ici enseigné dans leurs modes de gouvernance pour s'assurer qu'aucune corruption et mauvaise utilisation des fonds ne se produisent. Ils pourront vivre dans des tentes les premiers mois, mais rapidement ensemble ils trouveront comment se loger et chaque famille fera ses jardins. Au bout de cinq ans, ces domaines seront productifs et commenceront à fournir les environs avec des légumes, des fruits et de l'artisanat de qualité. Ils pourront graduellement s'émanciper du besoin de recevoir des fonds du gouvernement. La terre produit beaucoup plus qu'on n'a besoin en fait sur un domaine familial. Les surplus, des denrées de très haute qualité, beaucoup plus nutritives que ce qui est produit par des fermes industrialisées, seront en forte demande. À terme les gens seront heureux et les enfants naîtront en grand nombre et auront la terre en héritage.

Le gouvernement qui a un véritable souci d'aider la population fera quelques projets pilotes de ce genre. Ces gouvernements seront les précurseurs du nouveau monde. Ils ont déjà commencé en Russie en donnant de petites fermes appelées dachas au peuple. Les Russes ont été les premiers a recevoir les enseignements d'Anastasia et il y a près de 200 ecovillages qui se sont organisés.

Aigle Bleu 


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