J’avais le projet d’écrire des choses ici, des choses que je pensais vaguement intelligentes, ou surtout amusantes, et puis…
"L’un des malheurs aux quels sont soumises les grandes intelligences, c’est de comprendre forcément toutes choses, les vices aussi bien que les vertus.
Ces deux jeunes gens jugeaient la société d’autant plus souverainement qu’ils s’y trouvaient placés plus bas, car les hommes méconnus se vengent de l’utilité de leur position par la hauteur de leur coup d’œil. Mais aussi leur désespoir était d’autant plus amer qu’ils allaient ainsi plus rapidement là où les portait leur véritable destinée. Lucien avait beaucoup lu, beaucoup comparé. David avait beaucoup pensé, beaucoup médité. (…)"
Je vais plutôt continuer à lire Balzac, je reviendrai après, les illusions perdues et l’esprit libéré.
Ce sera bien.