Magazine Journal intime

Il était à deux pas des miens et j’ai rien vu ! #Richard Gere

Publié le 16 mars 2013 par Lmdmimilie @LMDMimilie

Tout a commencé au petit matin, je suis passée dans cette rue où une foule de personne s’agitait dans tous les sens.
A peine réveillée, je râlais surtout du fait que les camions me gênaient pour aller là où je devais me rendre.
Je voyais bien pourtant que ces individus qui bougeaient dans tous les sens s’affairaient à monter des draps noirs, à déplacer des fils, à faire des branchements, à je ne sais quoi d’autres (merdouille c’est le matin, je ne suis pas du matin, donc ne me demande pas ce qu’il faisait je n’en sais pas plus).
Quelques heures plus tard, je me marchais avec une amie dans les rues du centre-ville de Chartres, et là on a bien vu que des gens filmaient, mais sans plus. Nous pensions seulement que c’était pour la pub Orangina Japonaise. Bon pas de quoi faire sa curieuse. Je ne connais aucun acteur Japonais, je ne suis pas du genre midinette qui va se poster derrière le cadreur histoire de faire sa quiche adolescente trentenaire.

Mais à l’heure où je vous parle, je regrette de ne pas l’avoir fait ! Bordel, si seulement j’avais su que je pouvais réaliser un bon vieux rêve…
Est-ce que tu te rappelles de cet acteur qui tombait éperdument amoureux d’une prostituée aux longs cheveux roux ? Est-ce que tu te rappelles de ces yeux rieurs qui pétillaient quand il l’observait faire son show dans les magasins ?
Qui n’a jamais rêvé d’être à la place de Julia Roberts le temps d’une seconde ?
Pretty Woman, ce film qui a bercé mon adolescence, où j’aurais tout donné pour être dans les bras de ce mec sexy.
Tain les filles, pendant que je causais à ma copine, et que je gazouillais avec son bébé, Richard Gere était à deux pas des miens.
Richard Gere qui tournait un Pub à Chartres, et moi, bah moi je ne le savais pas. Moi je ne me doutais même un instant que derrière ces draps noirs, il y avait l’acteur de mes rêves d’adolescentes.
Moi qui le lendemain lit l’Echo Républicain sur le net et qui s’aperçoit qu’elle est passée à côté d’un truc énorme.

600405_540634719310109_1671896618_n

Tu t’en fous sûrement mais j’aurais tout donné pour lui faire un câlin, juste un seul !

Moral de l’histoire, la curiosité n’est pas un vilain défaut !


Retour à La Une de Logo Paperblog