Ce matin, je me suis réveillée avec une envie furieuse de harcha (!) le nom d’origine des galettes de semoule marocaines, servies au petit dej ou au goûter. Cherche pas a comprendre, et non, je ne suis pas enceinte 
Face au succès des photos instagram et aux questions, je mets la recette de suite. Il faut dire que malgré toutes les tentatives ces dernières années, je n’ai jamais pu réussir la galette sans la dénaturer. Ma mère fait une version « brute », mais que je n’arrive pas a manier sans la casser de partout. Mes tantes plus jeunes elles faisaient une version plus douce avec de l’huile, un œuf, du sucre et du lait : c’était bon mais on ne retrouvait plus l’aspect un peu rêche qui caractérise la « harcha » (traduction littérale : celle qui est rêche
Ingrédients :
- 200 grs de semoule semi-complète ou complète (dispo en magasin bio pour la dernière)
- 120 ml d’huile d’olive (l’huile d’olive, c’est la vie)
-1 cas de gros sel
-100 ml de lait tiède
- 1 sachet de levure chimique
Mélanger les ingrédients petit a petit dans un saladier. Utiliser une fourchette et insérer les liquides (lait et huile) au fur et à mesure que la semoule l’absorbe. Sa nature fait quelle absorbe de grands volumes de liquide et gonfle beaucoup.
Le mélange doit ressembler a une sorte de pâte brisée.
Laisser reposer un peu.
Façonner des petites galettes avec l’emporte pièce : le petit format les rendra plus maniables car une fois cuites, c’est très friable.
Faire cuire quelques minutes de chaque côté a feu moyen.
Des quelles dorent, les enlever, pour éviter qu’elles ne se dessèchent.
Servir, j’ai une préférence pour la version salée avec olives noires, fromage frais ou fromage a pâte dure.
En version sucrée, miel, pâte d’amandes ou éventuellement confiture.
Ne sous estime pas leur taille, elles sont costaud une fois dans le ventre sont idéales pour faire patienter la tribu de morphales jusqu’au déjeuner tardif du week end
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble