Coeur, coeur, coeur labeur. Coeur menteur. Coeur bonimenteur. Coeur splendeur des accomplis. Coeur aux délaissés négligés accrochés portemanteaux sans vie. Ô, les délaissés, les oubliés. Ne rien savoir de ce que main tendue peut tenir demain matin.
Demain terrain en friche à déchiffrer quand il viendra. Quand il sera temps, quand il sera vrai. Le coeur est un vrai sablier enchâssé en poitrine profonde, le sang est-il du sable fin, mais la vie quelle est-elle ? Le vrai sens de la vie ? Accompli et oubli ? Déjà vingt-trois heures cinquante-sept minutes, demain dans trois minutes, trois... deux, un, zéro