Nicolas Maduro et sa femme, hier, à Caracas
Défaite amère.
La contestation jusqu’à la lie. Toute honte bue, puisque l’élection a été très serrée, voyant Nicolas Maduro remporter de justesse l’élection présidentielle avec seulement 50,66% des suffrages exprimés, l’opposition conteste. Henrique Capriles Radonski, le mauvais perdant, conseillé par…les Etats-Unis, demande un recomptage. Voilà un pays incapable de se débarasser de Guantanamo mais qui aime bien mettre son nez dans les affaires des autres pour créer le chaos. Barack Hussein Obama, l’antéchrist, est vraiment un montre. N’ayons pas peur des mots.
Le conseil national électoral (CNE) a proclamé vainqueur Nicolas Maduro. Ce dernier, face à sa courte victoire a dit qu’elle était « juste, légale et constitutionnelle » mais, bon seigneur, il a accepté un recomptage des votes pour lever tous doutes sur le résultat du scrutin. Sûr de son fait, on espère que le looser Capriles saura enfin reconnaître sa victoire et laisser les Vénézueliens vivre en paix.
Et là, les mauvais perdant, sont passés à l’offensive. Des pirates informatiques ont détourné le compte Twitter de Nicolas Maduro, hier, dimanche 14 avril, quelques minutes avant la fermeture des premiers bureaux de vote. Le parti socialiste vénézuelien a aussi été victime de cette forfaiture. La défaite leur étant insupportable, ils passent par des chemins tortueux pour déstabiliser le Venezuela…
Le dernier tweet du mauvais perdant est clair:
Después que hable el CNE voy a hablarle a nuestro Pueblo
— Henrique Capriles R. (@hcapriles) 15 avril 2013
Ces gens veulent mettre le feu, truquer, mentir, pour arriver à leurs fins.
Jeu de briques
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