Ces qualités requises par la pratique du golf, comme pour beaucoup d'autres sports de niveau professionnel, ne peuvent guère être acquises qu'au cours d'une longue et difficile carrière et à force de temps, de frustration, de moyens financiers, de talent naturel et de tout l'effort fourni par l'athlète.
Sur cette base, et en supposant que le joueur à des compétences de top niveau, celle-ci représentent peut-être 25% de l'équation totale avec en plus 70% de facteur malchance et peut-être 5% de facteur bonne chance.
Prochainement, j'essaierai de dresser une comparaison des compétences par rapport à ce facteur chance dans tous les sports que j'aime, que je suis un peu et connais quand même assez bien.