Alors qu’il va prêter serment demain, vendredi 19 avril 2013, un vrai coup de massue pour les Américains, qui prétendent tout diligenter à travers le monde, le président du Venezuela, Nicolás Maduro, est en grande forme. Son challenger, Henrique Capriles, est KO. Maduro a tancé les Etats-Unis à propos des dernières déclarations du Secrétaire d’Etat John Kerry, qui a exprimé ses doutes quant à la légitimité du nouveau président. Nicolás Maduro a ridiculisé les Etats-Unis en disant qu’il n’avait nullement besoin de leur reconnaissance, qui ne l’intéressait même pas. Et toc !
Et comme un bonheur ne vient jamais seul, les présidents de l’Argentine, Cristina Fernandez Kirchner, du Brésil, Dilma Rousseff, de l’Uruguay, José Mujica, du Chili, Sebastián Piñera, de la Colombie, Juan Manuel Santos, de Bolivie, Evo Morales, et du Pérou, Ollanta Humala, ont confirmé leur présence à sommet de L’Union des nations sud-américaines (Unasur), à Lima, au Pérou, où, ils ont tous décidé d’apporter un soutien nourri au président élu, Nicolás Maduro.
L’opposition vénézuélienne, avec son chef de file l’extrémiste Henrique Capriles a déposé hier, mercredi un recours officiel contre la victoire à la présidentielle de Nicolás Maduro qui n’a aucune chance d’aboutir. A l’aide de faux grossiers, ce petit hitlérien pensait tromper le Conseil national électoral (CNE). De l’esbroufe. Après deux jours de violence, cette opposition pense enfin à la légalité ? Ridicule. La demande du recomptage est une fausse excuse…
Henrique Capriles est un chef de gang, et celui d’un parti affairiste défendant le capitalisme de clocher.
No pasarán !
Hasta la victoria Nicolás Maduro !
Jeu de briques
Snake
Pacman
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