Nicolas Maduro
Malgré les cris d’orfraie de l’extrémiste hitlérien Henrique Capriles, Nicolas Maduro a prêté serment hier. La fête n’a pas eu le goût espéré, d’autant plus que le premier cité a tout fait pour la gacher. Une pétition qui circulait pour empêcher cette prestation de serment a été rejettée par la plus grande instance judiciaire du pays.
Le président du Venezuela, Nicolas Maduro, a lu la résolution du sommet extraordinaire de l’Union des nations sud-américaines (UNASUR) de jeudi dernier, dans laquelle les pays membres ont exprimé leurs félicitations au peuple vénézuélien pour sa participation massive aux élections du 14 avril et appelé à respecter les résultats officiels qui donnent comme vainqueur Nicolas Maduro, le nouveau président constitutionnellement et légalement du Venezuela.
S’adressant à une douzaine de chefs d’Etat dont les présidents Dilma Rousseff du Brésil, Juan Manuel Santos de Colombie (qui a bravé l’interdiction américaine), Raul Castro de Cuba et de l’Iran Mahmoud Ahmadinejad, Maduro a promis de lutter contre le crime et purger les programmes des services sociaux les plus populaires du pays. Il a promis de lutter contre la corruption et avec efficacité, etc…
« J’appelle le pays à une révolution de l’efficience socialiste, pour lutter contre la bureaucratie, la corruption, la paresse, de lutter contre l’arriération, la culture de la léthargie … nous allons transformer ces six années en un miracle de la prospérité économique»
« Nous allons garantir la paix dans ce pays, que nous, et je le dis avec modestie … Je suis prêt à discuter même avec le diable. »
Yendri Sanchez Gonzalez, 28 ans, un partisan de Capriles, a tenté d’interrompre le discours de Maduro. S’il était armé, il pouvait même l’assassiner. Il a été arrêté et sera accusé de crime, relatif à l’interruption de la prestation de serment. Quant à l’extrémiste Capriles, il espère encore que le recomptage pourrait changer la donne, malgré ses mensonges…