Le cristal réfléchit tes rêves décantés,
Réfracte ton regard dans de sombres brillances :
Sur l’ombre de tes pleurs, espoirs de vérités.
Tes propos liquoreux subliment tes errances,
Gémissements fœtaux de ton esprit chétif
Bénissant le whisky de boire à tes absences.
Tu conjures grisé par ton fiel expansif
Au comptoir des amis dont le regard dévie,
Tout en te resservant un « santé ! » bien oisif.
Ammoniacs, vomis pour cocktail de l’envie
De saouler ton passé dans le bar de ton cœur
Où tu voudrais remplir le verre de ta vie.
L’alcool, comme un buvard pour ta folle rancœur.
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