Bernard Tapie aurait déclaré être prêt à aider François Hollande. Qu’un spécialiste des entreprises en faillite rejoue au lapin du chapeau magique devrait pourtant inquiéter nos politiciens pour peu qu’ils aient un semblant de mémoire. Mais n’est-ce pas justement cette qualité qui, de droite à gauche du spectre politique français fait le plus défaut de nos jours ? Le problème crucial de la crise est de savoir qui doit partager et comment. Faut-il se souvenir que déjà Alphonse Allais confirmait que « les cocus étaient ceux qui partageaient leur moitié avec un tiers » ?