ALERTE INFO. Syrie (vidéo): rien ne va plus pour les terroristes qui perdent (encore) du terrain…

Bachar Al-Assad

Notre posteur TOM, que nous remercions, vient de nous faire découvrir un post ahurissant. Ne riez surtout pas à la lecture de cet article. Il n’est pas de nous mais de Reuters. Le titre à lui tout seul est amusant sinon triste.  Jusqu’à preuve du contraire, la Syrie a comme président Bachar al-Assad. Alors, quand on lit qu’une ville stratégique a été prise par les partisans de Bachar al-Assad en lieu et place de la souveraineté de la Syrie qui revient petit à petit dans l’escarcelle des Syriens, on tombe des nues. « Reprise » aurait été plus approprié mais, passons.

 L’armée arabe syrienne devient les « partisans de Bachar al-Assad ». La honte et la falsification doublé de la propagande n’ont visiblement plus de limite pour les suceurs de sang du peuple syrien. Actuellement, Al-Qusair est encerclé par l’armée syrienne et elle demande aux terroristes de se rendre pour éviter un bain de sang. C’est dur pour les terroristes d’où les voltiges mensongères des Eatats-Unis qui ont envoyé leur bras armé du Moyen-Orient, Israël pour ne pas le nommer, mettre le feu en Syrie. Une victoire est tellement en vue que nos amis ne savent plus où donner de la tête…

Une ville stratégique prise par les partisans de Bachar al Assad

 Les partisans du président syrien Bachar al Assad se sont emparés d’une ville du Sud d’importance stratégique après deux mois d’intenses bombardements, a-t-on appris mercredi de sources proches de l’opposition.

Kharbat Ghazaleh, située dans la plaine du Hauran, est un point de transit sur l’autoroute qui relie Damas à la Jordanie.

Cette plaine, qui s’étend jusqu’au plateau du Golan, sous occupation israélienne, est le point de départ de l’insurrection qui tente de déloger Bachar al Assad du pouvoir.

Près d’un millier de combattants rebelles ont évacué Kharbet Ghazaleh après avoir perdu l’espoir de recevoir un soutien matériel en provenance de Jordanie.

« Les forces d’Assad ont commencé à avancer depuis le Nord et l’Ouest et je peux encore retourner à Kharbet Ghazaleh, mais je ne peux rien y faire », a déclaré à Reuters le commandant de la Brigade des martyrs de Ghazaleh, Abou Yacoub.

« Je peux y ramener des centaines de combattants, mais cela serait inutile parce que je n’ai pas de munitions. »

Abou Yacoub met en cause le comportement d’un conseil militaire d’opposition syrien soutenu par la Jordanie, incapable selon lui de fournir le soutien matériel indispensable pour conserver la ville.

« Demain, une immense tragédie va se produire, la route de l’approvisionnement du régime vers Deraa sera rouverte et les officiers y retourneront et les munitions seront à nouveau acheminées et les bombardements reprendront », a dit Abou Yacoub.

Suleiman Al-Khalidi, Nicolas Delame pour le service français