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MACABRE. France (Drôme): le violeur des juments a enfin été interpellé

Publié le 15 mai 2013 par Menye Alain

mercurol

MERCUROL, Drôme – Ce monde est vraiment formidable. Mercurol est un petit patelin de 2070 habitants et, ici, il se passent des choses. En Syrie, on justifie son cannibalisme et, les médias "mainstream" acceptent un témoignage bidon. Au Kenya, un Neerlandais, moyennant de l’argent, a mis en scène dans un film pornographique-zoophile, son chien qui "faisait l’amour" à 11 étudiantes kenyanes. Le pauvre animal en est mort d’épuisement et le boss blanc et ses étudiantes inculpés. En France, on atteint vraiment le fond. Tiens, la France serait définitivement et durablement en…récession. On m’aurait menti à l’insu de mon plein gré ? Enfin, vous êtes au courant de ce qui se passe à la Croisette (Festival de Cannes) avec les escabeaux ? A Mercurol, le roi de l’escabeau a été démasqué. Le mystère est enfin élucidé. C’est bien un homme qui violait des juments paisibles.

Oui, à Mercurol dans la Drôme, le sordide s’est invité dans le petit bled perdu du canton de Tain-l’Hermitage. Un homme a été interpellé en fin de semaine dernière pour "actes de cruauté sur des animaux". Ah, on pensait qu’il faisait du bien à ces animaux. La zoophilie n’est pas encore entrée dans les moeurs ? Pendant des mois, l’infortuné aurait copieusement violé deux juments qui paissaient paisiblement dans un champ d’abricotiers.

C’est alors que l’un des éleveurs avait relever des choses pas très catholiques dans son champ et sur les animaux. Il se douta que quelque chose se tramait dans son champ. Le petit malin se ruina et acquis une installation ultramoderne d’espionnage à la James Bond: la vidéoprotection. Il accumula alors des heures d’images du coït… scabreux, avant de remettre la bande à la gendarmerie. Ne pouvait-il pas aller voir l’homme et lui dire d’arrêter ? Enfin, chacun son truc.

En passant au crible les éléments, la gendarmerie allait alors découvrir le violeur très spécial à l’escabeau. Il s’agissait d’un habitant du village voisin de Chantemerle-les-Blés. Ah, ces histoires de la campagne ! Pour ces faits de sévices et actes de cruauté sur des animaux, l’homme est passible de 2 ans d’emprisonnement et de 30000€ d’amendes. Bien sûr, les animaux ne sont pas convoqués au tribunal pour qu’on sache s’il leur faisait du mal ou du bien. Le violeur quant à lui estime qu’il leur faisait du bien…


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