Prison d’Alep
ALEP, Syrie – Les troupes gouvernementales syriennes ont maté, hier soir, jeudi, les terroristes qui avaient pris d’assaut la prison dans la ville septentrionale d’Alep. Leur projet de libération de centaines de terroristes a lamentablement échoué. Poussés dans une retraite forcée, ce dernier revers des terroristes qui cherchent à renverser le président Bachar al-Assad, est un nouvel échec des ennemis de la Syrie.
Les hostilités faisaient rage depuis mercredi autour de la principale prison d’Alep. Les terroristes avaient commis un double attentat à la voiture piégée dans l’espoir de libérer disaient-ils, et la presse "mainstream" de le relayer, des centaines d’opposants au régime. Une vraie fable, tant, ils sont en déroute un peu partout dans le pays. La réalité c’est que, environ 4.000 prisonniers, dont des islamistes et des criminels de droit commun, sont détenus dans cette prison située à la périphérie de la ville d’Alep. Mais, certains persisteront à dire que ce sont ces terroristes qui contrôlent la ville. Comment peut-on contrôler une ville mais pas sa prison ? Gymnastique intellectuelle morbide et mortifère.
Après avoir perdu beaucoup d’hommes, les forces de la terreur pensaient pouvoir en recruter d’autres, dans les prisons surtout, les populations leur étant désormais hostiles. Une population qui permet jour après jour, à l’armée arabe syrienne de gagner du terrain dans cette guerre imposée au pays.
Et pendant ce temps-là, la diplomatie de la mort redouble d’entrain dans le mensonge. Aux dernièrezs nouvelles, Washington et Londres attestent que des armes chimiques ont été utilisées à petite dose au moins deux fois. Or, ils n’ont rencontré ni les personnes victimes de ces dégâts, ni consulter quiconque. On se demande bien sur quels témoignages s’appuient-ils ?