J’en ai pris des notes quelque part devant le fleuve St Laurent, j’ai rempli des carnets sur cette terrasse Dufferin. Ma vie a
changé car ces heures étaient des heures de doutes, d’abattement et de foi mélangées…une lumière jouxtait le sombre en
moi…j’étais là pour trouver les raisons de survivre…j’envisageais mon retour à Paris avec l’idée tenace de surprendre
Didier Celiset
En cours d’écriture