Si tu as reçu de Dieu une grâce de connaissance, bien
que partielle, garde-toi de négliger la charité et la tempérance, car ce sont
elles qui, en purifiant à fond les puissances pathétiques de l'âme, te fraient
sans cesse le chemin de la connaissance. Maxime le Confesseur : Quatrième
centurie