[OÙ QUE TU AILLES]
Où que tu ailles, l’humus,
le sable, prends modèle
sur les ondes, allège-toi.
Ne sois que souffles
et vois : une glycine
a débordé le mur.
Ne coupe aucune fleur,
tu t’élargis
dans l’air des cimes.
Pierre Dhainaut, Avril perpétuel de l’âme in Rudiments de lumière, Arfuyen, 2013, page 74.
PIERRE DHAINAUT
■ Pierre Dhainaut
sur Terres de femmes▼
→ Horizons, fontanelles… (poème extrait de Vocation de l’esquisse)
→ Passerelles
→ Soudain la tête se redresse (poème extrait de La Nuit, la nuit entière)
■ Voir aussi ▼
→ (sur le site des éditions Arfuyen) une page consacrée à Pierre Dhainaut
→ le blog de Sabine Dewulf : Pierre Dhainaut, poète de la présence
→ (sur le site du Prix européen de Littérature) le Discours de réception du Prix de Littérature francophone Jean Arp prononcé par Pierre Dhainaut le 14 mars 2010 à Strasbourg
→ (sur Wikipedia) une notice de belle qualité
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