Parfois dans ses yeux sombre j’aperçois une lumière. Un reflet bleu dans la nuit d’un Paris que j’aime. Parfois elle s’apaise comme un enfant s’endort et ses maux s’envolent comme une nuée de pigeon poursuivie par un gamin des rue. Je contemple ses humeurs assis sur un banc en vieux bois vert. Pensif et seul. Je cherche un geste rassurant, un éclat dans ses yeux plutôt que dans sa voix. Une petite voix me dit d’être là. De ne pas bouger. De ne pas faire de bruit. De la laisser paisiblement s’endormir car peut-être elle se réveillera demain, amoureuse comme au premier jour. Fière de connaître un homme capable d’avoir supporté tant de chaos. Et je saurai alors que comme Paris, notre Amour tanguera toujours, mais ne sombrera jamais.