L’amour tient son pouvoir d'édification de ce qu'elle
n'est ni envieuse, ni amère contre les envieux ; de ce qu'elle ne fait pas
montre de ce qu'on lui envie et ne pense même pas quelle l'a déjà acquis, mais,
lorsqu'elle ne sait pas, avoue sans fausse honte son ignorance. Ainsi elle rend
l'esprit exempt d'orgueil et le prépare sans cesse à progresser dans la
connaissance.
Maxime le Confesseur : Quatrième
centurie