C’est un truc qu’on avait promis il y a un petit bout de temps, mais qu’au final, flemme aidant, on a jamais fait. Alors que bon, bordel, il n’y a aucune raison, par souci d’anti-sexisme d’une part, et puis parce que les nanas, ça va bien cinq minutes, mais que tout le monde passe son temps à parler d’elles et qu’au bout d’un moment, ça commence à bien faire. Bon alors évidemment, sans colporter de clichés débiles, c’est quand même beaucoup plus compliqué de trouver des odes à des icônes de sexe masculins. A croire que les muses sont condamnées à être du sexe dit faible, dans la lignée de siècles de machisme. Toujours est-il qu’on se rend compte qu’en musique, le mâle est statistiquement plus anonyme que les filles, qui ont bien plus souvent droit à un prénom.
Enfin, tout cela ne nous rendra pas l’Alsace et la Lorraine, place à la musique du jour.