Magazine Journal intime

Vingt fois sur le métier...

Publié le 27 juillet 2013 par Claudel
Vingt fois, oui, c’est à peu près ça. Et encore, ce n’est pas tout à fait au point. Il reste ce fichu écho, pour reprendre le terme de Sylvie qui a été la première à le voir. Souffrez donc de voir double (encore qu'il faille lire les dix premiers articles!), encore quelque temps. le temps que quelqu'un me trouve la ligne dans le code html qui bégaie.
On voit toujours plus beau, on vise le sommet, on espère toujours se hisser au premier rang. Disons que j’ai fait de mon mieux dans les circonstances, c'est-à-dire à la limite de mon talent et de mes compétences. Il doit bien exister un syndrome typiquement québécois : «je suis capable d’en faire autant». Au lieu de payer quelqu’un ou d’acheter quelque chose, la Québécoise que je suis, chiche sur les bords parce qu’elle préfère économiser pour Dieu sait quoi plutôt que de le dépenser, et comme elle a bien des loisirs, est du genre à se lancer dans ce qu'elle croit être capable de réussir. Et elle essaie, ce qui est méritoire et valorisant... quand elle réussit.
Si l’idée était d’harmoniser le blogue et le site : c’est réussi. Les vingt pages de mon site (j’en ai profité pour en supprimer une bonne dizaine obsolètes) sont maintenant à l’image et aux couleurs de mon blogue. Et vice-versa.
Si l’urgence était aussi d’en profiter pour essayer d’enlever une fenêtre popup qui s’était insidieusement infiltrée dans mon site, c’est réussi aussi. Rien que pour ça, le cœur sûrement à 160 en valait la peine.
Vingt fois sur le métier... Mais en cours de route, que de doutes, de trébuchements (oui, oui, c’est un nom, rare et vieux, mais encore dans les dictionnaires !). Une aventure. Quand elle sera terminée, je serai fière de moi, mais pendant que tu avances péniblement, en tâtonnant, en te rendant dans des zones jamais explorées, malgré toute l’aide reçue, tous les courriels échangés, tous les forums d’aide visités, tu en baves un coup et tu te demandes si au lieu de remettre vingt fois sur le métier ton ouvrage, tu n’aurais pas été mieux d’aller garder les vaches !
(photo empruntée à Office microsoft.com)

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