C'est délicieux. Ce vent fou qui emmêle les cheveux et fait frissonner la peau mouillée.Il fait chaud, très, mais ce vent qui s'engouffre dans la vallée élargie est délicieux.
Ça va faire un mois. Un mois que je suis ici, et je n'ai pas vu le temps passer. Un peu d'amis, unes de famille, puis le calme, l'introspection, la solitude, et le bien être.De mon transat au soleil couchant, je contemple la Loire. Elle frise, force dix ?Cet hiver l'homme atout faire (superman :-)) a coupe les fourrés qui nous cachaient la vue. Qui nous cachaient de la vue aussi. Mais qu'importe. Les passants ne font que passer, et la vision furtive et éventuelle d'une femme en maillot entrant ou sortant de sa piscine ne reste que vision furtive. C'est bien aussi de montrer qu'il y a de la vie au sein de ces vieilles pierres.
D'ailleurs, la semaine prochaine, elles se remplissent ces vieilles pierres, parents, beaux parents, mari...Fin de la tranquillité et du calme monastique que j'affectionne. Heureusement, il restera la piscine et le silence du fond de l'eau pour m'isoler.