Alors que le sit-in des Frères musulmans, amis du Hamas, d’Al-Qaïda et de tous les groupes extrémistes du monde se poursuit, leur allié américain, voit son poker menteur moyen-oriental mis en échec. A force de jouer avec le feu, sans jamais penser aux peuples, les Etats-Unis se sont fourvoyés et demenés lors des soi-disant "printemps arabe", pour se prémunir des attentats terroristes, en donnant le pouvoir aux islamistes.
Hélas, effet boomerang, les peuples se lèvent, d’Égypte en Libye en passant par la Tunisie. Al-Qaïda entre de plain-pied dans la danse égyptienne, en affirmant que ce sont les Américains qui ont commis le "coup d’état" contre Morsi en Egypte. Les choses sont tellement claires, après la sortie haineuse du conseiller religieux de la chaîne propagandiste Al-Jazeera, Yusûf al-Qarâdâwi. Les autistes qui portent des oeillères vous diront encore qu’il y a une différence entre les Frères musulmans et al-Qaïda. Mais, que dire des Etats-Unis ?
Au pied du mur, les Etats-Unis sont victimes de leurs propres turpitudes, responsables de ce qui leur arrive, à force de fricoter à contre-couranten ne voyant que ses intérêts. Les stratèges de Washington se sont royalement plantés, en voulant faire du Moyen-Orient et de l’Afrique (Libye) des démocraties à la kalachnikov, avec des financements obscures pour aider l’éclosion tous azimuts du terrorisme.
Le choix cornélien américain, qui oppose la raison (peuple égyptien) et les sentiments (Frères musulmans) dévoilera le vrai visage de ces gens. Quand ils sont acculés, ils disent que tout va mal, al-Qaïda veut les attaquer. Et pourtant, chacun sait qu’ils sont alliés en Syrie, pour tenter de renverser le président Bachar al-Assad, et l’étaient aussi en Libye, pour assassiner le frère Guide Mouammar Kadhafi. Alors, le cris d’orfraie ne sont qu’une logique morbide…
Jeu de briques
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Pacman
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