C’est vrai qu’ayant quand même coûté la bagatelle de Fr. 360′000.–, le bidule aurait pu être mieux pensé, voire pensé tout court, par ses concepteurs et autres financiers (l’Etat de Genève, la Fondation pour le tourisme, Genève Tourisme de “l’ami” Jobin et la commission cantonale du Sport-Toto). Mais on sait tellement bien que réfléchir coûte cher et n’est pas à la portée de tout le monde.
Espérons que les ballons officiels offerts par “le Crédit Suisse qui ne savait pas pourquoi ils ne coûtaient que 39 centimes pièce en provenance du Pakistan” se dégonfleront quant à eux, comme ça les gosses qui les ont cousus pourront sortir leur carton rouge et réclamer trois sous de plus.
© iconographie Laurent Guiraud, TdG