Alors que l’armée arabe syrienne avance dans tout le pays, l’Occident, conscient que tout est en faveur du président Bachar al-Assad a alors demandé à ses sous-fifres d’utiliser des armes chimiques. Le prétexte idéal. Mais, ce qui est grave, c’est de sacrifier des civils de cette manière. Comment peut-on expliquer que, ces gaz aient été selectionnés par l’armée syrienne pour essentiellement tuer des femmes et des enfants ? Une vraie légende urbaine. Ces terroristes ont ciblé des civils et, surprises, aucun terroriste, que dis-je, DJ Fabulous aka Fabius risque de pleurer, aucun résistant n’est tombé. Cherchez l’erreur !
Et là, le coup de massue est venu de Damas où, le Gouvernement syrien a demandé aux enquêteurs de l’ONU de se rendre sur place dès demain. L’Occident en pleurs, ne sait plus à quels saints se vouer. Craintes, inquiétudes, peurs. Tout le monde tremble, de Washington à Paris, en passant par Londres où Doha, chez les grands démocrates ou plutôt argentiers. Maintenant, l’Occident veut influencer les enquêteurs onusiens parce que ses plans tombent à l’eau. C’est la dernière tentative pour réussir leur coup d’état qui vient de leur échapper. Caramba !
Journal de Syrie du 25 août 2013
- Damas: Accord syro-onusien autorisant l’ONU à enquêter sur les allégations d’utiliser l’arme chimique dans la banlieue de Damas.
- Le commandement général de l’armée : La possession par les gangs terroristes des substances chimiques démontre leur recours à l’arme chimique.
- Al-Zoebi: Nous possédons des preuves incontestables que les groupes terroristes ont utilisé l’arme chimique…L’agression contre la Syrie ne serait pas une promenade.
- Source militaire : Des unités des forces armées traquent des éléments des groupes terroristes armés du Front al Nosra dans la banlieue de Damas
- Nombre de soldats ont été blessés après l’inhalation de gaz lors de leur entrée à Jobar dans la banlieue de Damas.
- L’explosion à Qassa’a est due à une roquette non pas à une voiture piégée.
- Le Liban saisit six camions chargés d’une quantité de comprimés de Captagon en destination de la Syrie.