A y bien réfléchir, en y revenant et revenant dessus des milliers et des milliers de fois, on se dit que c’est sans le moindre regret que d’avoir des longues années porté haut ses idéaux et su rester droit dans ses bottes, ferme dans ses convictions. Car ils se sont passés des interminables années où une vie difficile a été dans une non liberté pour faire court, pendant qu’ils, ils croupissaient où se « prélassaient » derrière des barreaux, les futurs manitous d’une après « révolution ». Ceux là, ceux qui se prélassaient, ils ne se sont pas trop ennuyés, ils se sont bien amusés, ont baisé, parait-il, avec et avec, qu’une fois à l’air libre on découvrait avec stupeur la sonorité nasillardes de leurs voix, des voix déglinguées d’avoir tant derrière des murs, hurlées…de leur bonheur. Sinon qui aurait pu abîmé ainsi des cordes vocales ?
Curieuse leçon de l’histoire de la part et pour qui se sont tant occupés à se défoncer le bas à s’esquinter le haut, venir à leur délivrance, sermonner la majorité d’avoir tant péché si bas et promettre aux repentis les délices du haut.