Ceux qui jargonnent

Publié le 28 août 2013 par Jlk

Celui qui relève la récurrence du connecteur et dans l'écriture du scripteur anonyme du tag et en infère une forte marque de sa subjectivité énonciative au niveau de la base textuelle genre langue de banlieue sensible  / Celle qui n'ose déléguer son récit de vie à un narrateur second de type intradiégétique et prend alors sur elle de risquer un JE ressortissant à la narration homodiégétique genre yaourt nature / Ceux qui conviennent au cours du colloque sur Ramuz que le rattachement du mot ruclon (en français avéré: décharge, lieu où l'on jette les ordures ménagères ou potagères) à une aire linguistique définie s'étend à l'énonciateur Bovard (le cantonnier) et, comme élément de connotation, devient un facteur d'ancrage énonciatif / Celui qui décrypte le niveau de consensus du sondage en modulation spontanée /Celle qui interagit dans le cadre des mouvances / Ceux qui décontextualisent les critères du relatif / Celui qui ne percute pas le concret du concept / Celle qui antagonise le moins possible même en termes de non-dit /Ceux qui estiment que Gide a sous-évalué la dimension du pacte narratif dans les transitions de Paludes /Celui qui oppose radicalement (Jean-Pa s'est toujours montré très radical dans ses approches intertextuelles) la pléthore du signifié chez Dante et l'économie du blanc dans l'Ecole du silence / Celui qui sécurise le débat en gérant les retombées / Celle qui externalise le produit coeur au plan sociétal / Ceux qui boostent le relationnel de leur réseau ludique,etc.