Obama: so weak, so ridiculous!

Publié le 30 août 2013 par Neoafricain

Dans le grand livre de la géopolitique au Moyen-Orient, le sanglant chapitre syrien n'est pas encore totalement écrit.

Mais déja, à des dizaines de milliers de kilomètres de là, un soi-disant leader est entrain de perdre le peu de crédibilité qui lui restait encore.... chez ses fanatiques! Leur très cher "Prix Nobel de la Paix" qui devait pacifier le monde s'apprête non seulement à coutourner l'ONU (crime suprême pour tous les gauchistes!) mais a aussi réussi à isolé et ridiculisé les USA comme jamais ils ne l'ont été.

A l'instar du Canada, de la Grande-Bretagne,les alliés historiques des USA rejettent l'offre de Américains sur la Syrie. L'Australie, l'OTAN n'y participeront certainement pas. Seule la France, qui vient tout juste de réduire son budget défense  semble ne pas plier. Ca en dit long sur la coalition qui se dessine... Je ne vois personne à Moscou, Péking, Téhéran et même à Damas réellement trembler face à cette menace. La superpuissance américaine est au plus bas.

Ridiculous!

Nous sommes quelques uns à avoir toujours tenu ce discours que dans certaines régions du monde, seule la force est respectée. On peut se gêner de ce discours dans certains cercles en Occident ou dans les milieux les plus pacifistes, mais seuls ceux que l'on sait déterminés à défendre leurs valeurs sont craints dans cette région qui vit au rythme de massacres et de barbaries. Obama qui a tellement cru que sa personne et son verbe pouvaient changer la face du monde, se retrouve au pied du mur. Un massacre terrible, probablement perpetré par le régime tyranique de Damas ne peut rester impuni. Mais il n'est que la dernière horreur d'un conflit qui aurait pu être écourté si dès le début de sa Présidence il avait sévit contre l'Iran et la Syrie et signifié à Moscou et à Péking que certaines limites ne devront pas être dépassées.

Mais il a été lâche et orgeuilleux. Aujourd'hui, cette faiblesse éclate et elle est dangereuse pour la stabilité du monde. Parce que les vris victoires sont celles que l'on gagne sans devoir se battre. La dissuasion. mais l'actuel occupant de la Maison Blanche ne dissuade personne. La Russie peut héberger Snowden sans conséquences, l'Iran poursuivre sa nucléarisation, la Corée du Nord sa folie tyranique,etc...

Même si beaucoup continuent à le détester, mais G.W.BUSH était craint par ses ennemis et ses alliés savaient qu'ils pouvaient compter sur lui en toute circonstances. C'est ce qu'on appelle un leader.Il suffit de comparer les coalitions qu'il a dirigées en Afghanistan et en Irak avec celle que le pathétique couple Obama/Hagel essaie de constituer...

So weak!

En géopolitique, la faiblesse est une trahison envers les intérêts de son pays!