Hé, ma bonne Dame, keskon a encore pour 2,69 eur, de nos jours ?
T’as pas un menu OK au Quick, même pas un mini Giant. T’as un cheeseburger. Mais t’as le gosier déshydraté.
T’as pas une place de cinéma. T’as le droit de regarder un peu moins de la moitié du film. La première moitié, comme ça tu restes sur ta faim (ou sur ta fin).
T’as pas une maison. Juste la première brique pour la construire, c’est symbolique, mais que ça. Un symbole, ça t’héberge pas.
T’as pas une casserole de moules au Lunch. Mais tu peux t’offrir la boisson et la sauce moules. Et chercher sur les tables des casseroles abandonnées avec des moules flottant encore dedans.
T’as pas un paquet de serviettes hygiéniques. Ou alors celles en format lange, qui grattent, qui collent pas, qui se déchirent.
T’as pas de quoi faire l’aller-retour en bus en ville pour aller te promener. Hé, t’as qu’à revenir à pied, tu feras du sport.
T’as pas une écharpe Strelli. Tu peux juste en extraire un confetti.
T’as pas un bouquet de roses. Et en offrir une seule, ça fait radin quoi. Ah ben si.
T’as pas un ballotin de manons Léonidas, passque les fleurs c’est périssable mais les bonbons c’est tellement bon bien que les fleurs soyent plus présentables. Prends-en cent grammes, mais faudra payer un supplément.
T’as pas un livre de poche. Ou alors un tout tout petit, tout tout plat, tout tout chez un bouquiniste ou sur une brocante.
T’as pas une frite/fricandelle. Juste la frite. Ou la fricandelle. Arrange-toi avec ton voisin pour faire moit moit.
T’as pas un apéro en terrasse. Prends un verre d’eau.
T’as pas une boîte d’aspirines (après l’apéro). Toute façon, t’avais qu’à pas boire.
T’as pas une lasagne farniente. Contente-toi de « far niente », c’est gratos.
Bref, pour 2,69 eur, ma bonne Dame, t’as plus rien ou presque.
Presque.
Pour 2,69 eur, tu peux t’offrir le bouquin qu’on a écrit, Rachel Colas et moi.
Rachel Colas est une blogueuse et auteure belge. Comme moi.
Elle adore écrire des nouvelles. Comme moi.
Elle vit à Namur. Comme moi.
Elle a découvert mon blog. Comme moi le sien.
Puis on est devenues amies.
Et à force de se dire « comme moi », on décidé d’unir nos plumes pour vous concocter nos « Histoires à mourir de vivre ».
Kekseksa ?
27 histoires.
Pour frémir.
Pour rougir.
Pour rire.
Pour pleurer aussi.
Des histoires à mourir de vivre quoi. Fantastiques parfois. Angoissantes. Émoustillantes aussi. Étonnantes, toujours. Tristes aussi, quelquefois. Un peu de tout, comme le fromage belge (mais pas une fois, 27 fois).
Certaines de mes histoires ont été publiées sur ce blog, parfois, d’autres sont totalement inédites. Vous connaissez mon style rigolo, vous allez découvrir une autre facette de mon écriture, que certains connaissent déjà. Voici donc l’occasion de vous plonger dans le côté obscur de ma force. Et de découvrir le talent talentueusement talentueux de Rachel Colas.
Un remerciement spécial pour le graphiste Castiel AiD (Rac Karol Jr) qui a fait un travail fabuleux !
Découvrez l'annonce de Rachel Colas sur son blog.
Histoires à mourir de vivre, ce sont donc 27 histoires, soit 208 pages de lecture (143 en Kindle, mais c’est bien la version intégrale, savent pas calculationner chez Kindle).
Pour 2,69 eur.
Prix de lancement.
En Kindle. Vous connaître Kindle ? C’est un format à lire sur Kindle. Une liseuse, qu’on dit. J’ai pu tester, c’est trop trop bien, j’en veux une. Mais Kindle peut aussi être chargé gratuitement sur votre pc ou smartphone. Ici.
Et pis vous pouvez même télécharger un extrait gratuit, yesss, gratuit, avant l’achat, des fois que vous auriez encore un doute quant à l’utilité de dépenser 2,69 eur, bande de radins.
Et si vous êtes allergiques au numérique, passque ça rime, y’a aussi la version normale, pour ceusses qui aiment palper et respirer un livre, le corner, l’abîmer, le conserver dans une vieille bibliothèque branlante car épuisée de supporter tant d’ouvrages. Elle est un peu plus chère, 7,62 eur, passqu’il y a du papier, mais pas tant que ça, prix d’un livre de poche, à peine.
Voilà voilà, et pis on vous prépare déjà le volume 2, que vous allez nous réclamer à cor et à cris, passque nos Histoires à mourir de vivre, c’est comme le chocolat, on en devient addict… question de vie ou de mort quoi.
Ooh ça va je rigole, je me la pète pas à ce point, mais j’espère que ça va vous plaire, passque ça rime encore.
Et si vous avez que 0,95 eur à dépenser, vous pouvez vous offrir la réédition de mon mini-roman En direct du paradis, enfer compris, avec plein de morceaux de chick lit inside, histoire de prolonger l’été.
Et pour 2,99 eur, c’est la réédition du Savoir écrire pour les filles que vous pouvez vous offrir.
Bref, que du bonheur, à découvrir ici :
Histoires à mourir de vivre version Kindle
Histoires à mourir de vivre version papier
En direct du paradis, enfer compris ! version Kindle
Le savoir écrire pour les filles version Kindle
Hé, ma bonne Dame, keskon a encore pour 2,69 eur, de nos jours ?
T’as pas un menu OK au Quick, même pas un mini Giant. T’as un cheeseburger. Mais t’as le gosier déshydraté.
T’as pas une place de cinéma. T’as le droit de regarder un peu moins de la moitié du film. La première moitié, comme ça tu restes sur ta faim (ou sur ta fin).
T’as pas une maison. Juste la première brique pour la construire, c’est symbolique, mais que ça. Un symbole, ça t’héberge pas.
T’as pas une casserole de moules au Lunch. Mais tu peux t’offrir la boisson et la sauce moules. Et chercher sur les tables des casseroles abandonnées avec des moules flottant encore dedans.
T’as pas un paquet de serviettes hygiéniques. Ou alors celles en format lange, qui grattent, qui collent pas, qui se déchirent.
T’as pas de quoi faire l’aller-retour en bus en ville pour aller te promener. Hé, t’as qu’à revenir à pied, tu feras du sport.
T’as pas une écharpe Strelli. Tu peux juste en extraire un confetti.
T’as pas un bouquet de roses. Et en offrir une seule, ça fait radin quoi. Ah ben si.
T’as pas un ballotin de manons Léonidas, passque les fleurs c’est périssable mais les bonbons c’est tellement bon bien que les fleurs soyent plus présentables. Prends-en cent grammes, mais faudra payer un supplément.
T’as pas un livre de poche. Ou alors un tout tout petit, tout tout plat, tout tout chez un bouquiniste ou sur une brocante.
T’as pas une frite/fricandelle. Juste la frite. Ou la fricandelle. Arrange-toi avec ton voisin pour faire moit moit.
T’as pas un apéro en terrasse. Prends un verre d’eau.
T’as pas une boîte d’aspirines (après l’apéro). Toute façon, t’avais qu’à pas boire.
T’as pas une lasagne farniente. Contente-toi de « far niente », c’est gratos.
Bref, pour 2,69 eur, ma bonne Dame, t’as plus rien ou presque.
Presque.
Pour 2,69 eur, tu peux t’offrir le bouquin qu’on a écrit, Rachel Colas et moi.
Rachel Colas est une blogueuse et auteure belge. Comme moi.
Elle adore écrire des nouvelles. Comme moi.
Elle vit à Namur. Comme moi.
Elle a découvert mon blog. Comme moi le sien.
Puis on est devenues amies.
Et à force de se dire « comme moi », on décidé d’unir nos plumes pour vous concocter nos « Histoires à mourir de vivre ».
Kekseksa ?
27 histoires.
Pour frémir.
Pour rougir.
Pour rire.
Pour pleurer aussi.
Des histoires à mourir de vivre quoi. Fantastiques parfois. Angoissantes. Émoustillantes aussi. Étonnantes, toujours. Tristes aussi, quelquefois. Un peu de tout, comme le fromage belge (mais pas une fois, 27 fois).
Certaines de mes histoires ont été publiées sur ce blog, parfois, d’autres sont totalement inédites. Vous connaissez mon style rigolo, vous allez découvrir une autre facette de mon écriture, que certains connaissent déjà. Voici donc l’occasion de vous plonger dans le côté obscur de ma force. Et de découvrir le talent talentueusement talentueux de Rachel Colas.
Un remerciement spécial pour le graphiste Castiel AiD (Rac Karol Jr) qui a fait un travail fabuleux !
Découvrez l'annonce de Rachel Colas sur son blog.
Histoires à mourir de vivre, ce sont donc 27 histoires, soit 208 pages de lecture (143 en Kindle, mais c’est bien la version intégrale, savent pas calculationner chez Kindle).
Pour 2,69 eur.
Prix de lancement.
En Kindle. Vous connaître Kindle ? C’est un format à lire sur Kindle. Une liseuse, qu’on dit. J’ai pu tester, c’est trop trop bien, j’en veux une. Mais Kindle peut aussi être chargé gratuitement sur votre pc ou smartphone. Ici.
Et pis vous pouvez même télécharger un extrait gratuit, yesss, gratuit, avant l’achat, des fois que vous auriez encore un doute quant à l’utilité de dépenser 2,69 eur, bande de radins.
Et si vous êtes allergiques au numérique, passque ça rime, y’a aussi la version normale, pour ceusses qui aiment palper et respirer un livre, le corner, l’abîmer, le conserver dans une vieille bibliothèque branlante car épuisée de supporter tant d’ouvrages. Elle est un peu plus chère, 7,62 eur, passqu’il y a du papier, mais pas tant que ça, prix d’un livre de poche, à peine.
Voilà voilà, et pis on vous prépare déjà le volume 2, que vous allez nous réclamer à cor et à cris, passque nos Histoires à mourir de vivre, c’est comme le chocolat, on en devient addict… question de vie ou de mort quoi.
Ooh ça va je rigole, je me la pète pas à ce point, mais j’espère que ça va vous plaire, passque ça rime encore.
Et si vous avez que 0,95 eur à dépenser, vous pouvez vous offrir la réédition de mon mini-roman En direct du paradis, enfer compris, avec plein de morceaux de chick lit inside, histoire de prolonger l’été.
Et pour 2,99 eur, c’est la réédition du Savoir écrire pour les filles que vous pouvez vous offrir.
Bref, que du bonheur, à découvrir ici :
Histoires à mourir de vivre version Kindle
Histoires à mourir de vivre version papier