Cela demande au cycliste d'amener le haut du corps vers l'avant pour compenser, et la solution la plus simple pour y arriver est d’élargir le guidon. Non seulement cela est loin d’être anatomique et confortable, mais cela expose dangereusement les extrémités du guidon à tous les obstacles, comme les arbres, qui bordent nos sentiers étroits. Un mauvais compromis ? Sans aucun doute.
Une des théories permettant de déterminer la bonne longueur est de mesurer la largeur des épaules du sujet et d'y ajouter entre 10 et 15 cm pour obtenir l'envergure totale. Une autre approche consiste à faire « des pompes » et mesurer la distance entre les deux appuis. Les deux systèmes conduisent à peu près au même résultat.