FIFF - La bataille de Solferino

Publié le 27 septembre 2013 par Anaïs Valente

La bataille de Solferino, ce sont deux batailles : celle d’un couple, enfin d’un ex-couple, qui se déchire pour la garde des enfants, et puis celle d’une présidentielle qui verra gagner Hollande.  Une histoire intime, et puis l’histoire de France.

Le tout tourné en « vrai » durant ce dimanche du second tour, ce que j’ai appris après avoir vu le film.  Je m’étais interrogée sur le côté très « documentaire » des images de la foule en délire avant et surtout après les résultats.  Ce n’était donc pas de la figuration.

Au-delà du conflit politique, c’est surtout du conflit homme/femme dont il est question, un conflit presque burlesque parfois.  Irritant, aussi, quand ils hurlent, quand ils tombent dans la violence, quand leur côté pathétique est malheureusement criant de vérité.  Et de m’interroger : comment peut-on tant s’aimer un jour, et puis tellement se haïr le lendemain, ou presque ?

Le film est rythmé par ces scènes qui font sans cesse rire ou rager.  Avec, par moment, une réelle envie de traverser l’écran pour mettre un peu d’ordre dans cette famille, non mais.

Et puis une bouffée de tendresse et de rire pour la scène entre l’ex, l’avocat qui n’en est pas un, et le chien, hilarante.

La bataille de Solferino, ce sont deux batailles : celle d’un couple, enfin d’un ex-couple, qui se déchire pour la garde des enfants, et puis celle d’une présidentielle qui verra gagner Hollande.  Une histoire intime, et puis l’histoire de France.

Le tout tourné en « vrai » durant ce dimanche du second tour, ce que j’ai appris après avoir vu le film.  Je m’étais interrogée sur le côté très « documentaire » des images de la foule en délire avant et surtout après les résultats.  Ce n’était donc pas de la figuration.

Au-delà du conflit politique, c’est surtout du conflit homme/femme dont il est question, un conflit presque burlesque parfois.  Irritant, aussi, quand ils hurlent, quand ils tombent dans la violence, quand leur côté pathétique est malheureusement criant de vérité.  Et de m’interroger : comment peut-on tant s’aimer un jour, et puis tellement se haïr le lendemain, ou presque ?

Le film est rythmé par ces scènes qui font sans cesse rire ou rager.  Avec, par moment, une réelle envie de traverser l’écran pour mettre un peu d’ordre dans cette famille, non mais.

Et puis une bouffée de tendresse et de rire pour la scène entre l’ex, l’avocat qui n’en est pas un, et le chien, hilarante.