Magazine Journal intime

Fiff – Post partum

Publié le 27 septembre 2013 par Anaïs Valente

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J’adore Mélanie Doutey, que je connais plutôt pour ses rôles dans des comédies.  J’étais donc curieuse de la découvrir dans ce drame, même si je ne doutais pas (ouais, elle est nulle) de son talent.

Et je n’ai pas été déçue.

Tout démarre comme un conte de fées : Luce et Ulysse sont vétérinaires, ils vivent dans une jolie maison au bord de la mer, sont heureux, et vont bientôt être parents d’une petite Rose.

Que demander de plus ?

Mais après la naissance de la petite, rien ne va plus, et Luce est persuadée que quelque chose ne va pas, qui expliquerait les pleurs incessants de Rose.

Et je peux vous dire que son angoisse est contagieuse, et que le doute germe rapidement : est-elle folle, ou est-elle victime d’une machination familiale ?  Un va-et-vient incessant entre certitude et questionnement, qui ne fait qu’augmenter la tension, palpable jusque dans les images de l’océan, qui en perdent tout leur glamour.

Rapidement, on comprend… et le malaise va crescendo.

Mélanie Doutey est formidable en maman totalement confuse.  Et j’ai été amusée en découvrant le nombre de bébés incarnant la petite rose à l’écran.

Symbole du doute permanent qui plane durant le film, même si, tout au fond, on sait, cette image : lapin ou oiseau.  Et Luce, victime ou coupable ?  A vous de le découvrir (mais évitez si vous êtes enceinte ou projetez de l’être, tant qu’à faire)

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J’adore Mélanie Doutey, que je connais plutôt pour ses rôles dans des comédies.  J’étais donc curieuse de la découvrir dans ce drame, même si je ne doutais pas (ouais, elle est nulle) de son talent.

Et je n’ai pas été déçue.

Tout démarre comme un conte de fées : Luce et Ulysse sont vétérinaires, ils vivent dans une jolie maison au bord de la mer, sont heureux, et vont bientôt être parents d’une petite Rose.

Que demander de plus ?

Mais après la naissance de la petite, rien ne va plus, et Luce est persuadée que quelque chose ne va pas, qui expliquerait les pleurs incessants de Rose.

Et je peux vous dire que son angoisse est contagieuse, et que le doute germe rapidement : est-elle folle, ou est-elle victime d’une machination familiale ?  Un va-et-vient incessant entre certitude et questionnement, qui ne fait qu’augmenter la tension, palpable jusque dans les images de l’océan, qui en perdent tout leur glamour.

Rapidement, on comprend… et le malaise va crescendo.

Mélanie Doutey est formidable en maman totalement confuse.  Et j’ai été amusée en découvrant le nombre de bébés incarnant la petite rose à l’écran.

Symbole du doute permanent qui plane durant le film, même si, tout au fond, on sait, cette image : lapin ou oiseau.  Et Luce, victime ou coupable ?  A vous de le découvrir (mais évitez si vous êtes enceinte ou projetez de l’être, tant qu’à faire)

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