« Le dimanche, on lit au lit », et on publie le vendredi, passque dimanche on sera au FIFF.
Jonathan Tropper n’en est pas à son coup d’essai en matière de littérature, mais c’est le premier livre de cet auteur que j’ai eu le plaisir de découvrir récemment, bien qu’il soit sorti il y a un petit temps déjà, mais peu importe, y’a pas d’heure pour lire Une dernière chose avant de partir, ni une comédie, ni un drame, plutôt une comédie douce-amère, dirais-je.
Douce comme la tendresse qui existe entre tous les personnages, malgré leur cynisme quasi permanent et leur humour parfois détonnant.
Amère car par moments, elle ferait presque pleurer, tant les situations les plus cocasses laissent parfois percevoir une souffrance larvée.
J’ai aimé m’attacher à Drew, qui est pourtant une tête à claques, star éphémère de la musique, immigré dans un hôtel accueillant tous les rejetés de la vie et surtout de la famille, depuis que sa femme l’a quitté, avec sa fille, il y a déjà un bail (sept ans). Il y a quelques potes, qui constituent son seul noyau social. Le jour où sa fille adolescente, qu’il a fortement négligée, débarque chez lui et lui apprend qu’elle est enceinte, il s’effondre, et apprend que seule une opération pourra le sauver.
Opération qu’il refuse, au grand dam de son entourage…
Paresse ? Manque d’espoir en l’avenir ? Incapacité de savoir s’il veut prendre le risque de vivre encore ? Sans doute un peu de tout, et ça fait beaucoup de remous…
Jonathan Tropper nous fait passer du rire aux larmes, de l’émotion à l’envie de baffer Drew, parfois.
Une jolie tranche de vie, qui remue parfois à l’intérieur tout ce sur quoi on s’interroge quand on est humain : le sens de la vie, le gâchis du passé, l’espoir en l’avenir…
Acheter Une dernière chose avant de partir
« Le dimanche, on lit au lit », et on publie le vendredi, passque dimanche on sera au FIFF.
Jonathan Tropper n’en est pas à son coup d’essai en matière de littérature, mais c’est le premier livre de cet auteur que j’ai eu le plaisir de découvrir récemment, bien qu’il soit sorti il y a un petit temps déjà, mais peu importe, y’a pas d’heure pour lire Une dernière chose avant de partir, ni une comédie, ni un drame, plutôt une comédie douce-amère, dirais-je.
Douce comme la tendresse qui existe entre tous les personnages, malgré leur cynisme quasi permanent et leur humour parfois détonnant.
Amère car par moments, elle ferait presque pleurer, tant les situations les plus cocasses laissent parfois percevoir une souffrance larvée.
J’ai aimé m’attacher à Drew, qui est pourtant une tête à claques, star éphémère de la musique, immigré dans un hôtel accueillant tous les rejetés de la vie et surtout de la famille, depuis que sa femme l’a quitté, avec sa fille, il y a déjà un bail (sept ans). Il y a quelques potes, qui constituent son seul noyau social. Le jour où sa fille adolescente, qu’il a fortement négligée, débarque chez lui et lui apprend qu’elle est enceinte, il s’effondre, et apprend que seule une opération pourra le sauver.
Opération qu’il refuse, au grand dam de son entourage…
Paresse ? Manque d’espoir en l’avenir ? Incapacité de savoir s’il veut prendre le risque de vivre encore ? Sans doute un peu de tout, et ça fait beaucoup de remous…
Jonathan Tropper nous fait passer du rire aux larmes, de l’émotion à l’envie de baffer Drew, parfois.
Une jolie tranche de vie, qui remue parfois à l’intérieur tout ce sur quoi on s’interroge quand on est humain : le sens de la vie, le gâchis du passé, l’espoir en l’avenir…
Acheter Une dernière chose avant de partir