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Patrick Augelet nous révèle des détails croustillants sur la vie des enfants de la Gauche caviar. C’est gratiné ! Ici à l’Observatoire du MENSONGE nous publions sans censure…
TRIBUNE LIBRE
*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur***
Révélations familiales
Ou la vie n’est pas toujours rose…
Chez les Reveyrand de Menthon (à prononcer la bouche en "cul de poule"), une famille de diplomates, on n’épouse pas n’importe qui : une autre noble, sinon une riche bourgeoise dont la dot constituera l’essentiel du magot familial du jeune couple.
Michel Reveyrand de Menthon a ainsi épousé la fille d’une très riche et très connue famille de scientifiques, les Touraine, en la personne de Marisol.
Celle-ci, en bonne fille bobo de la grande bourgeoisie s’est lancée dans la politique, à gauche bien sûr, comme son homologue François Hollande lui aussi fils d’un richissime propriétaire de cliniques dont il héritera un jour prochain.
Pour ne pas salir le nom des Reveyrand de Menthon par cette activité gauchiste peu compatible avec le champagne, le caviar, les vastes appartements à hauts plafonds et les voyages en first class, la petite Marisol qui est assujettie à l’Impôt Sur la Fortune, comme devrait l’être François Hollande (mais celui-ci a à son service de bien meilleurs conseillers financiers), a choisi de conserver son nom de jeune fille qui fleure bon la Résistance communiste en Indre-et-Loire : Touraine.
C’est sous ce nom qu’elle est actuellement députée PS, présidente PS du Conseil général d’Indre-et-Loire, une région de châteaux qui lui sied à merveille, et ministre PS des Affaires sociales et de la Santé, un ministère où elle s’agite beaucoup faute de bien connaître le sujet.
La petite cumularde est aussi, cela va de soi, membre de clubs prestigieux, notamment Le Siècle, filiale française de Bilderberg et de la Trilatérale dont elle ne manquerait pour rien au monde les réunions du mercredi au Crillon, le grand hôtel de la place de la Concorde.
Avec une telle épouse, Michel, son époux (on ne parle pas de "mari" et "femme" dans la haute, ça fait petit) ne pouvait que connaître une belle carrière.
Mais l’inverse est vrai aussi. Ambassadeur au Mali de 2006 à 2010 où il a, disent les médias médisants de là-bas, à titre privé bien sûr, investi dans de fructueuses affaires, puis ambassadeur au Tchad où il n’a bien évidemment pas intrigué pour que l’armée tchadienne intervienne aux côtés de l’armée française chargée par Hollande d’exterminer les Arabes fanatiques musulmans qui polluaient le Nord du Mali et y compromettaient la démocratie et le développement économique.
Michel, qui a largement dépassé les 60 ans, pourrait être en retraite, mais il n’est pas d’un milieu où l’on prend sa retraite à 60 ans, fatigué par toute une vie de travail harassant.
"On" lui a donc trouvé un poste à sa mesure : Représentant Spécial de l’Union Européenne, c’est prestigieux et très bien payé (et probablement défiscalisé), il n’en fallait pas moins pour le mari d’une ministre socialiste, et surtout cela permet de très beaux voyages aux frais des contribuables, surtout en Afrique, au Sahel, pour y aller voir si la prospérité et la démocratie rétablies après l’intervention militaire de son ami François Hollande se portent bien.
Pourtant, le bonheur dans la justice sociale des Reveyrand de Menthon n’est pas parfait.
Ayant sans doute confié l’éducation de leur fils Gabriel à du petit personnel, ce serait une excuse vraisemblable, ils paient aujourd’hui cette erreur : le fiston est une petite frappe, un voyou qui, encagoulé et avec un ami à lui, a pénétré dans un appartement du 13èmearrondissement et séquestré en 2011 une femme seule pour lui extorquer sa carte bleue et ses économies en la menaçant d’un revolver sur la tempe.
On ne connaît pas le nom du copain si coopératif, espérons qu’il n’est pas fils de l’un des autres millionnaires du gouvernement !
Gabriel Reveyrand de Menthon a été condamné en mars 2013 à trois ans de prison ferme après avoir donné pour mobile à son geste qu’il avait besoin d’argent pour mener sa vie de garçon et avait une grosse dette à rembourser.
À croire que papa-maman sont radins, à moins qu’ils n’aient au contraire voulu apprendre au fiston que l’argent ça se gagne, surtout quand on le jette par les fenêtres, et lui aient serré la ceinture ce qui serait tout à leur honneur.
Il a aussi été condamné à verser à sa victime 3.000 € au titre de son préjudice moral (à comparer aux 40 millions pour Bernard Tapie, mais quand on est une pauvre femme et qu’on habite dans le 13ème, 3.000 € c’est bien) et 990 € pour son préjudice matériel.
Voilà qui démontre que la justice aux mains inexpertes de Madame Taubira n’est pas aussi laxiste que le prétend l’opposition réac.
Mais, peut-être parce que Madame sa mère a écrit une belle lettre d’excuses à la dame volée par son fils, celui-ci n’a pas été incarcéré. Voilà qui démontre que les réacs n’ont finalement peut-être pas tort, la justice française est quelque peu laxiste. Seulement, l’avocate de la dame rançonnée raconte que celle-ci n’a toujours pas reçu les 3 990 € que le tribunal lui a accordés en dédommagement. Plus de six mois après le jugement, ça fait désordre chez les Reveyrand de Menthon assujettis à l’ISF.
Cela dit, il est déjà bien que la noblesse socialiste s’excuse d’un vol commis aux dépens du petit peuple, si en plus il faut qu’elle indemnise, où va-t-on, je vous le demande !
Quoi qu’il en soit, le 30 août dernier Gabriel était assis avec une "personne" (la presse est discrète et ne donne ni son nom, ni son sexe, espérons que ce n’est pas encore un fils de ministre !) à l’arrière de la 407 grise de sa mère. Personne au volant et les clés au tableau de bord. Passe une patrouille de police. Elle est attirée par la forte odeur caractéristique de cannabis qui sort de la voiture (mais de quoi je me mêle !). Contrôle d’identité : les deux présumés innocents donnent de fausses identités. Les agents s’en doutent : nouveau contrôle et découverte que l’un des camés est Gabriel Reveyrand de Menthon. Malgré son casier judiciaire, sa condamnation et sa peine de prison à faire, il est relâché sur instruction du ministère de Madame Taubira.
Ceci étant, l’enquête a été aussitôt clôturée, on ne saura donc jamais le fin mot de l’histoire, ni le nom du comparse fumeur de hasch.
Le lendemain, rebondissement, Madame Touraine, épouse Reveyrand de Menthon, vient porter plainte au commissariat pour vol de sa 407 « encanabisée ». Laquelle est retrouvée peu de temps après dans le 13ème arrondissement. Gabriel explique qu’il a laissé la veille au soir les clés dans la boite aux lettres de papa-maman, comme il le fait d’habitude, et qu’elles ont du être volées pendant la nuit par des gens qui l’ont suivi, ce qui démontre si besoin en était que l’absorption de drogues ne développe pas l’intelligence, à moins qu’il ne soit pas bien futé de naissance.
Car la boite aux lettres de Madame La Ministre n’est pas une vulgaire boite en tôle à la porte déglinguée, située à l’extérieur de la maison, c’est une boite aux lettres comme on en trouve dans les immeubles rupins, protégée par une solide porte et une non moins solide porte d’entrée elle-même défendue par un code d’accès. Les policiers de plus en plus intrigués soupçonnent que la voiture de la ministre sert la nuit à des trafics peu recommandables et préviennent un juge qui décide de l’interpellation et de l’embastillement à la prison de la Santé de Gabriel. Ce qui a été fait début septembre. Dans combien de jours sera-t-il remis en liberté sous contrôle judiciaire ? Cela dit, ne jetons pas la pierre à Madame La Ministre de La Santé pour les incivilités de son fils, il y a des précédents dans ce beau monde.
Jean-Christophe Mitterrand, le fils du président du même nom : le 22 décembre 2000, il est écroué à la prison de la Santé (il faudrait y créer un club des enfants et parents de ministres socialistes) pour complicité de trafic d’armes, trafic d’influence par une personne investie d’une mission de service public, recel d’abus de biens sociaux, recel d’abus de confiance et trafic d’influence aggravé.
Le 11 janvier 2001, Jean-Christophe Mitterrand est libéré contre le versement d’une caution, avant d’être de nouveau mis en examen pour recel d’abus de biens sociaux le 17 octobre 2001. Le 27 octobre 2009, il est condamné à deux ans de prison avec sursis et 375 000 euros d’amende pour recel d’abus de biens sociaux dans le cadre du procès de l’Angolagate.
Thomas Fabius, fils du ministre étranger aux Affaires Laurent Fabius, avait été condamné en juin 2011 à 15.000 euros d’amende, dont 10.000 avec sursis, pour abus de confiance par le Tribunal Correctionnel de Paris, dans le cadre d’une procédure de "plaider-coupable", procédure destinée à éviter un procès à condition que l’intéressé reconnaisse sa culpabilité et accepte la peine proposée. Thomas Fabius est aussi visé par une enquête préliminaire pour "tentative d’escroquerie et faux". L’enquête, ouverte par le parquet de Paris en mars 2012, a été confiée à l’office central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF). Et depuis juillet 2013, Les policiers enquêtent aussi pour savoir comment ce fils de ministre qui ne paie pas d’impôts (le fils) a pu acquérir en 2012 un appartement payé 7,4 millions d’euros (5èmeétage, angle Bld Raspail et Bld St Germain, 6ème art.), mais évalué à 4,3 millions car c’est le modèle-type d’une opération de blanchiment !
Je vous fais grâce des cas d’Henry Royal, sa sœur Marie-Ségolène glissant doucement dans le has been on ne va pas tirer sur l’ambulance, et du petit dealer Trierweiler dont la mère n’est rien.
On oublie le fils Taubira, dont on parle abondamment aujourd’hui sur les réseaux sociaux, suite à une information dévoilée par l’hebdomadaire Valeurs Actuelles. Douze ans avant de proposer, en tant que garde des Sceaux, des peines de substitution pour les personnes condamnées à moins de cinq ans de prison, Christiane Taubira — qui vient de réaliser la pire audience de l’émission Des paroles et des actes, sur France 2, le 5 septembre —, alors députée de Guyane, avait tenté de faire annuler purement et simplement la condamnation par le tribunal de Bourges (avec dispense de peine) d’un de ses fils pour complicité de vol. Dans un document en date du 5 février 2001 que Valeurs actuelles a pu consulter, elle demande de faire procéder à une « annulation » (sic) de ladite condamnation. Motif : « À chaque fois qu’il subit un contrôle d’identité, la consultation du fichier provoque sa conduite au commissariat. » Comme en avril 1999, où un épisode analogue avait, dit-elle, conduit des passants à venir témoigner en sa faveur. On ignore si Mme Taubira avait obtenu satisfaction de Marylise Lebranchu, alors Ministre de la Justice et actuellement ministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction publique…
En principe, l’article était disponible sur le site de Valeurs Actuelles, mais la page est "actuellement indisponible", comme on dit dans les dictatures modernes.
Patrick Augelet
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