Un très bon moment de décompression ensuite, avec Je fais le mort qui, contrairement à ce que pourrait laisser penser le titre, n’est nullement un film déprimant.
François Damiens y incarne de Jean Renault (à ne pas confondre avec Jean Reno), un acteur césarisé y’a un bail, mais que ça, vraiment que ça. Depuis lors, il se traîne et se voit contraint d’accepter le rôle du mort pour la justice, lors de la reconstitution de plusieurs crimes dans une station de ski.
Sauf que son côté mêle-tout, celui qui fait que plus personne ne veut de lui sur aucun tournage, va encore faire des siennes, et qu’il va vouloir mener sa propre enquête, au grand dam du coupable, de la police et de la juge d’instruction.
Plein de moments drôles (malgré un passage où le côté loufoque est poussé à l’extrême, que j’ai moins apprécié) font de ce film une jolie réussite, cocasse comme tout, avec juste un petit zeste d’amour.
J’y ai retrouvé avec plaisir François Damiens, que je n’avais plus vu depuis le dernier Fiff, dans Tango Libre et Torpedo (deux moments de pur bonheur). En bonus, la présence cette jolie et talentueuse actrice, Géraldine Nakache, que j’ai découverte dans le superbe Tout ce qui brille. Joli duo.
Conclusion : François Damiens me fait toujours autant rire et a toujours ce petit truc qui fait que je suis sous le charme (va comprendre, il est pourtant ni brun ni ténébreux).
Ça me donne bien envie de revoir La délicatesse, tiens…
Un très bon moment de décompression ensuite, avec Je fais le mort qui, contrairement à ce que pourrait laisser penser le titre, n’est nullement un film déprimant.
François Damiens y incarne de Jean Renault (à ne pas confondre avec Jean Reno), un acteur césarisé y’a un bail, mais que ça, vraiment que ça. Depuis lors, il se traîne et se voit contraint d’accepter le rôle du mort pour la justice, lors de la reconstitution de plusieurs crimes dans une station de ski.
Sauf que son côté mêle-tout, celui qui fait que plus personne ne veut de lui sur aucun tournage, va encore faire des siennes, et qu’il va vouloir mener sa propre enquête, au grand dam du coupable, de la police et de la juge d’instruction.
Plein de moments drôles (malgré un passage où le côté loufoque est poussé à l’extrême, que j’ai moins apprécié) font de ce film une jolie réussite, cocasse comme tout, avec juste un petit zeste d’amour.
J’y ai retrouvé avec plaisir François Damiens, que je n’avais plus vu depuis le dernier Fiff, dans Tango Libre et Torpedo (deux moments de pur bonheur). En bonus, la présence cette jolie et talentueuse actrice, Géraldine Nakache, que j’ai découverte dans le superbe Tout ce qui brille. Joli duo.
Conclusion : François Damiens me fait toujours autant rire et a toujours ce petit truc qui fait que je suis sous le charme (va comprendre, il est pourtant ni brun ni ténébreux).
Ça me donne bien envie de revoir La délicatesse, tiens…