Fiff – L’escale

Publié le 29 septembre 2013 par Anaïs Valente

Encore un documentaire avec L’escale, alors que je me pensais partie pour une fiction.

Que nenni.

L’ambiance est moins joyeuse, puisqu’elle nous plonge en Grèce, dans une « pension » située dans un demi sous-sol à la limite du sordide, qui accueille des clandestins.  Ils ont réussi à rejoindre la Grèce, ont survécu, et attendent la suite du chemin, l’Europe du Nord, au moyen d’un faux passeport, via l’aide d’un passeur. Ils attendent, ne font qu’attendre, la peur au ventre, peur de se faire contrôler et emprisonner.

Certains repartiront d’où ils viennent, certains passeront.  L’ambiance est lourde, d’autant que, dès le début, on sait que l’un d’eux mourra, on ne sait comment ni pourquoi, mais on le sait.

Ce documentaire a le mérite de nous plonger dans le quotidien des clandestins.  De nous faire réaliser qu’ils ne sont pas que des chiffres, des statistiques, mais bel et bien des êtres humains, qui rêvent d’un monde meilleur et déboursent des sommes folles pour y parvenir… sans toujours survivre (sur ce point, je pense qu’ils enjolivent beaucoup nos pays, qui n’ont pas grand-chose à leur offrir, mais c’est un autre débat).

Au fil des minutes, on s’attache à eux, à tous ces espoirs qu’ils ont, et on finit par espérer les croiser un jour, là-haut, chez nous.

Beaucoup parviendront à partir, mais d’après le réalisateur, c’est un hasard exceptionnel.  Ce documentaire a été tourné avant la crise qui touche la Grèce.  Actuellement, la situation des clandestins est encore pire qu’à l’époque.

Encore un documentaire avec L’escale, alors que je me pensais partie pour une fiction.

Que nenni.

L’ambiance est moins joyeuse, puisqu’elle nous plonge en Grèce, dans une « pension » située dans un demi sous-sol à la limite du sordide, qui accueille des clandestins.  Ils ont réussi à rejoindre la Grèce, ont survécu, et attendent la suite du chemin, l’Europe du Nord, au moyen d’un faux passeport, via l’aide d’un passeur. Ils attendent, ne font qu’attendre, la peur au ventre, peur de se faire contrôler et emprisonner.

Certains repartiront d’où ils viennent, certains passeront.  L’ambiance est lourde, d’autant que, dès le début, on sait que l’un d’eux mourra, on ne sait comment ni pourquoi, mais on le sait.

Ce documentaire a le mérite de nous plonger dans le quotidien des clandestins.  De nous faire réaliser qu’ils ne sont pas que des chiffres, des statistiques, mais bel et bien des êtres humains, qui rêvent d’un monde meilleur et déboursent des sommes folles pour y parvenir… sans toujours survivre (sur ce point, je pense qu’ils enjolivent beaucoup nos pays, qui n’ont pas grand-chose à leur offrir, mais c’est un autre débat).

Au fil des minutes, on s’attache à eux, à tous ces espoirs qu’ils ont, et on finit par espérer les croiser un jour, là-haut, chez nous.

Beaucoup parviendront à partir, mais d’après le réalisateur, c’est un hasard exceptionnel.  Ce documentaire a été tourné avant la crise qui touche la Grèce.  Actuellement, la situation des clandestins est encore pire qu’à l’époque.