Magazine Journal intime

Non FIFF - Possessions

Publié le 29 septembre 2013 par Anaïs Valente

Tant que je suis dans le cadre « cinéma », envie de vous parler de Possessions, que j’ai vu l’autre jour.

J’aime assez les films tirés de faits divers, qui permettent d’en savoir plus, de pénétrer dans la tête des protagonistes, parfois, du moins subjectivement.

J’avais été drôlement touchée l’an dernier par « A perdre la raison », inspiré de l’histoire de Geneviève Lhermitte (qui a d’ailleurs inspiré une de mes Histoires à mourir de vivre, dans le volume 2, vous la reconnaîtrez peut-être).

J’ai été scotchée par la performance de Jeremie Reniers et de Julie Depardieu dans ce film qui relate, plus ou moins librement, du point de vue du coupable, l’histoire de la famille Flatcif : en 2003, Xavier Flatctif, sa femme et leurs trois enfants disparaissaient.  Après enquête, il s’avèrera que les assassins étaient des locataires des Flatcif, qui nourrissaient une haine à leur égard, sans doute due à la jalousie maladive qui les habitait.

J’avais eu vent de ce drame, si mes souvenirs sont bons, via un épisode de Faites entrer l’accusé.  Voir les faits relatés dans un film, voir la haine naître, grandir, enfler, jusqu’à l’explosion finale, c’est encore autre chose.

Pas très joyeux, mais un film à voir, pour ne jamais oublier que la race humaine est finalement bien souvent la plus… animale !

possessions.jpg

Tant que je suis dans le cadre « cinéma », envie de vous parler de Possessions, que j’ai vu l’autre jour.

J’aime assez les films tirés de faits divers, qui permettent d’en savoir plus, de pénétrer dans la tête des protagonistes, parfois, du moins subjectivement.

J’avais été drôlement touchée l’an dernier par « A perdre la raison », inspiré de l’histoire de Geneviève Lhermitte (qui a d’ailleurs inspiré une de mes Histoires à mourir de vivre, dans le volume 2, vous la reconnaîtrez peut-être).

J’ai été scotchée par la performance de Jeremie Reniers et de Julie Depardieu dans ce film qui relate, plus ou moins librement, du point de vue du coupable, l’histoire de la famille Flatcif : en 2003, Xavier Flatctif, sa femme et leurs trois enfants disparaissaient.  Après enquête, il s’avèrera que les assassins étaient des locataires des Flatcif, qui nourrissaient une haine à leur égard, sans doute due à la jalousie maladive qui les habitait.

J’avais eu vent de ce drame, si mes souvenirs sont bons, via un épisode de Faites entrer l’accusé.  Voir les faits relatés dans un film, voir la haine naître, grandir, enfler, jusqu’à l’explosion finale, c’est encore autre chose.

Pas très joyeux, mais un film à voir, pour ne jamais oublier que la race humaine est finalement bien souvent la plus… animale !

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