Magazine Journal intime

FIFF – Henri

Publié le 29 septembre 2013 par Anaïs Valente

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Premier film de Yolande Moreau en solo, Henri est une histoire d’amour atypique entre Henri, que le veuvage récent (brève apparition de Lio) a rendu un peu dépressif et imprégné de bière (mais peut-être l’était-il déjà avant, va savoir), et Rosette, papillon blanc envoyé par un foyer de handicapés mentaux, pour le seconder au restaurant qu’il tenait avec son épouse. 

Ils vont, presque sans se parler, du moins au début, apprendre à se connaître, à s’aider et, qui sait, à s’aimer.  Avec un road movie à Middelkerke en bonus.

Un très joli film, très belge par certains côtés (qui caricaturent un tantinet notre pays, faut bien le dire), très très drôle souvent, et puis très très triste parfois.  Avec des images magnifiques de la mer, des regards touchants et des musiques qui restent en tête, comme La nuit n’en finit plus, Ti amo, ou ce magnifique morceau sur fond de mer du Nord, dont j’ai oublié le nom et que je n’ai pas eu la présence d’esprit de repérer au générique, dommage, vraiment dommage).

J’y ai même découvert une expression que j’ignorais, lorsqu’on trinque « santé, bonheur, pipe à toute heure ».

Et puis la dernière scène m’a totalement scotchée. M’a donné envie de rire, danser et pleurer en même temps.

Bref. J’ai aimé.  Beaucoup aimé. 

Et pour bien déprimer (tiens je pensais que c'était Sylvie Vartan, mais que nenni) :

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Premier film de Yolande Moreau en solo, Henri est une histoire d’amour atypique entre Henri, que le veuvage récent (brève apparition de Lio) a rendu un peu dépressif et imprégné de bière (mais peut-être l’était-il déjà avant, va savoir), et Rosette, papillon blanc envoyé par un foyer de handicapés mentaux, pour le seconder au restaurant qu’il tenait avec son épouse. 

Ils vont, presque sans se parler, du moins au début, apprendre à se connaître, à s’aider et, qui sait, à s’aimer.  Avec un road movie à Middelkerke en bonus.

Un très joli film, très belge par certains côtés (qui caricaturent un tantinet notre pays, faut bien le dire), très très drôle souvent, et puis très très triste parfois.  Avec des images magnifiques de la mer, des regards touchants et des musiques qui restent en tête, comme La nuit n’en finit plus, Ti amo, ou ce magnifique morceau sur fond de mer du Nord, dont j’ai oublié le nom et que je n’ai pas eu la présence d’esprit de repérer au générique, dommage, vraiment dommage).

J’y ai même découvert une expression que j’ignorais, lorsqu’on trinque « santé, bonheur, pipe à toute heure ».

Et puis la dernière scène m’a totalement scotchée. M’a donné envie de rire, danser et pleurer en même temps.

Bref. J’ai aimé.  Beaucoup aimé. 

Et pour bien déprimer (tiens je pensais que c'était Sylvie Vartan, mais que nenni) :


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